Pendant l'Occupation, la région de Lorris (en forêt d'Orléans) a abrité un maquis. Le musée de la Résistance et de la Déportation retrace, à travers des objets donnés par les gens de la région, la vie pendant cette période : la vie quotidienne, la vie des maquisards. Sont évoqués aussi les trois camps d'internement du Loiret : Pithiviers-le-Vieil et Beaune-la-Rolande qui étaient des camps de transit vers les camps de la mort. Dans le Camp de Jargeau furent internés dans des conditions épouvantables (conçu pour 600 personnes, il comptera jusqu'à 1700 personnes) les tziganes, politiques, prostitués et personnes "marginalisées") 

le gazogène

 

 

soldat français

soldat allemand

 

des chaussures à semelle en bois évidée pour être plus légère

 

galoches et semelle en bois articulée

 

 

le phare avant de la bicyclette est en partie occulté

 

 

 

 

il porte une plaque d'immatriculation

les pneus sont faits de deux pneus usagés remplis de diverses matières

 

les tickets d'alimentation

 

l'Ovomaltine donne des forces

 

recettes de cuisine pour les restrictions alimentaires

 

une carte pré-remplie pour la correspondance entre la zone libre et la zone occupée

 

la femme coquette, sans enfants, n'a pas sa place dans la cité, c'est une inutile. Mais la compétence de la mère de famille est indiscutée. Elle a son rôle dans les conseils municipaux. Elle sait éduquer, élever, soigner, elle connaît les vraies valeurs. Elle est compétente et elle sert.

 

 

la haine contre les juifs s'amplifie

 

une maison forestière du maquis de Lorris

 

l'emblème du maquis de Lorris : le sanglier, je baroude. (baroud = combat). Cet insigne a été porté en 1945 et fait référence à un message codé annonçant un parachutage en mai 1944 : "les sangliers sortent du bois".

 

 

 

Quelques liens vers des sites :

http://maquisdelorris.fr/resistance/

une video -visite du musée :un clic 

le site du CERCIL(entre d'études et de recherches sur les camps d'internement du Loiret) : http://www.cercil.fr/

 

 

 

 

les cartes proposées par Follaiguille (si vous aussi vous voulez les faire, allez sur son blog)

 

 

et deux cartes Azza

 

 

 

 

 

l'intérieur de la carte précédente :

 

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En essayant de suivre le rythme.... les progrès continuent...

 

kiné bouteilles par bluesy45

L’île de Taquile (5,4 km sur 1,3 km) se trouve à 3 heures de Puno. Le village se trouve tout en haut de l’île. Pour y accéder, il faut grimper par un escalier de 584 marches. Mais nous, nous avons abordé au port du nord et accédé au village par un sentier raide mais plus aisé que l’escalier. L’île est à 3950 m et il y a 264 m de dénivelé. Il faut monter doucement, inspirer et expirer profondément, ne pas parler ! Notre guide m’a fait respirer une branchette de «  muña. », sorte de sarriette.

Sur cette île vivent 2000 personnes mais il y vient 40 000 touristes par an. Les gens circulent à pied : pas de voitures, pas de vélos sur l’île. Pas d’hôtel non plus, les touristes logent chez l’habitant. Peu de chats ou de chiens : leur possession est soumise à l’autorisation de la communauté. Les habitants sont groupés en communauté autogérée et leurs productions artisanales se vendent en coopérative. Les objets tricotés portent un numéro et la somme  revient à celui qui a tricoté le vêtement. J’ai acheté de jolies mitaines colorées et un bonnet (chullo).

La devise de l’île est : « ama sua, ama llulle, ama quilla » : ne vole pas, ne mens pas, ne sois pas paresseux.

Les hommes tricotent et les femmes filent. Il faut 15 jours pour faire un bonnet. Sur le chemin, des hommes étaient assis sur un muret en train de tricoter. Photos autorisées à condition de donner 1 sol. Les costumes sont fort jolis. Les femmes portent un voile noir sur la tête et des jupes amples. Les hommes portent un bonnet de couleurs vives. S’il est rouge, l’homme est marié ; s’il est blanc et rouge, l’homme est célibataire. Leur ceinture est une sorte de calendrier qui décrit les activités agricoles.

 Sur un banc de pierre de la place  principale, un papy tricote en attendant qu’on le prenne en photo. Cela doit être son activité principale car j’ai vu sa photo sur le net prise par d’autres personnes. Il ne parle et ne comprend que le quechua. Félix, notre guide, se fait l’interprète. Le papy a 90 ans, il a 3 filles et 2 garçons mais ne connaît pas leur âge. Sous son chapeau de feutre, il porte un bonnet qu’il a tricoté quand il était plus jeune.

Les habitants de l’île sont catholiques mais ils continuent aussi à vénérer la déesse terre (la Pachamama) pour s’assurer des récoltes fertiles.

 

Du sommet de l’île, le paysage sur le lac est magnifique et tout au loin, on aperçoit les sommets enneigés de Bolivie.

 

les femmes filent en marchant

 

 

les hommes tricotent

 

 

la fleur de cantuta, symbole du Pérou, est partout

 

le moindre petit lopin de terre est cultivé

 

au loin, on paerçoit les sommets enneigés de Bolivie

 

 

regardez bien , près des rochers

 

confortable, à défaut d'intimité

 

Le SAL du cahier de broderie mené par Covi d'après le livre de Marie Suarez touche à sa fin... il me reste encore un feuillet puis la couverture, la reliure et la pochette.

La page de broderie blanche n'est pas parfaite : la toile (16 fils) est trop grosse. Il m'a fallu quand même travailler avec la loupe pendue au cou...

point de plumetis, point de bourdon, point de piqûre, point de tige ; le tour est au point de palestrina

coton spécial DMC n° 20 pour le remplissage et n°30 pour le bourdon

i vous avez envie de broder ce cahier, il n'est pas trop tard : Covi recommence ce SAL bientôt. S'inscrire sur son blog !

 

et voici la dernière page

tour au point de chausson rebrodé