Les travaux ménagers :

Je n'ai pas photographié beaucoup de fleurs. En voici cependant quelques-unes :

le réséda

oliviers

petites pommes locales (aliça)

grenadier :

faux pistachier (je ne suis pas certaine) :

je ne connais pas le nom de ces fleurs :

L'expo se tient au Grand Palais jusqu'au 2 février. Si vous en avez l'occasion, courez-y. C'est fabuleux ! Les oeuvres sont classées par thèmes, les panneaux explicatifs sont clairs et donnent beaucoup d'indications sur les oeuvres. Il y a aussi quelques vidéos. Il y a deux aspects de l'oeuvre de Niki de Saint-Phalle : des oeuvres violentes (des comptes à régler avec la famille, la religion) et des oeuvres joyeuses et féministes.

Nous n'avons pu rester que deux heures car nous voulions éviter le RER des heures de pointe (et, ouf ! nous avons eu notre train avec à peine deux minutes d'avance....)

une photo du net de Niki :

les photographies dans l'expo sont autorisées (sans flash bien sûr). Voici donc les tableaux de la première salle : Peindre la violence.

Singe 1960 :

Pink nude in landscape 1959 :

nightscape 1959 :

night experiment :

autoportrait 1958-59 :

"Après avoir rejeté mes parents et leur classe, j'ai  été confrontée à l'énorme devoir de me réinventer et me recréer. Je ne ressentais aucun sentiment national. Je me sentais à moitié française à moitié américaine".

Cette oeuvre montre un corps en morceaux et une âme tourmentée.

le hachoir :

paysage de la mort :

L'organisation de nos classes de découverte était un peu spéciale à cette époque-là. Comme nous avions choisi de faire partir toutes les classes d'un même niveau, il nous fallait limiter les frais. Les quatre classes partaient deux par deux en CM1 (10 jours) et l'année suivante les élèves restaient avec le maître en CM2. C'étaient d'autres maîtres qui partaient, on faisait un roulement. En 1986, c'était ma première classe de découverte de ce type et je partais avec Guy. Deux animateurs BAFA nous accompagnaient (bénévolement). Merci à eux !

Des parents venaient avec nous pour participer aux sorties, aux réunions et aussi faire la cuisine. Merci à ces mamans, elles n'ont pas chômé pendant ce séjour ! C'était du 24 h sur 24 !

Les enfants avaient élaboré quelques mois avant les menus, calculé les quantités à acheter, et les denrées étaient commandées par les maîtres. Le premier jour, il y avait du travail car il fallait réceptionner les pâtes, les confitures, les produits laitiers, les fruits et légumes. 

Quant aux enfants, ils n'étaient là non plus pour paresser : ski de fond, visites (grotte, site préhistorique, musée de la Résistance...), comptes rendus. Ils devaient aussi faire leur lit, balayer les chambres et la salle à manger, mettre et débarrasser la table, nettoyer les lavabos. La journée se terminait par des jeux et une réunion de coopé où chacun disait ce qui allait ou n'allait pas. 

Pour cette première classe de découverte, nous avons pris le train (moins cher que le car) : Malesherbes-Paris en RER puis Parsi-Valence en TGV et ensuite car jusqu'à Vassieux. Heureusement qu'à Paris, c'était la même gare ! Guy avait fait un aller-retour en voiture pour transporter les grosses cantines avec les livres, les cahiers et matériels divers... 

Quels bons souvenirs !

Elle a la particularité d’avoir 6 minarets (la légende dit qu’au lieu de construire des minarets en or, l’architecte en a construit 6 car les mots six et or sont homophones). Pour respecter la prédominance de la Mecque de La Mecque, le Sultan lui offrit un septième minaret. La mosquée Sultanahmet fut terminée en 1616 par l’architecte Sedefhar Mehmet Ağa (="l'artisan qui travaille la nacre"), élève du fameux Sinan (règne du sultan Ahmet I). 

Seul le Sultan pouvait pénétrer à cheval dans la cour. Par marque d’humilité envers le divin, il devait baisser la tête pour éviter la chaîne.

entrée avec muqarnas (stalactites)

On connaît aussi la mosquée sous le nom de Mosquée bleue en raison de ses 21 043 merveilleuses faïences d’Isnik (ancienne Nicée). La vente de 5 carreaux permettait de nourrir une famille pendant une semaine. Récemment, des carreaux d’Isnik ont été vendus aux enchères à Londres à raison de 1250$.

La mosquée est éclairée par 260 fenêtres. Sur les lustres, des œufs d’autruche sont destinés à éviter les toiles d’araignées.  À l’entrée, une maquette de Médine en argent offerte par le roi Saoudien. 

la chaire du muezzin :

la salle de prières et la loge des muezzins. À gauche, le mihrab en marbre de Marmara contient un fragment de la pierre noire de la Kaaba de La Mecque.

le minbar :

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