Nous venons de faire faire le contrôle technique de la voiture.

Quatre points à revoir :

essuie-glaces, un pneu un peu usé, et ce commentaire qui nous a étonnés "non concordance avec la carte grise  du nombre de places assises" (article 9, arrêté 18/06/1991 modifié).

En effet, comme Guy était allé porter des branchages à la déchetterie la veille, il n'avait pas replacé le siège arrière.

ce qui a aussi entraîné ce commentaire "essai non réalisé des ceintures arrière".

Pour en revenir à un article précédent sur l'accentuation des majuscules :

Je suis en train de lire "Dans les bois éternels" de fred Vargas (éd Viviane Lamy) et je lis :

Ile-de-France est écrit Île-de-France (dans le Robert des noms propres il y a aussi Î

et Elisabeth s'écrit Élisabeth

Qu'en pensez-vous ?

Je vais terminer le livre car l'issue est proche et l'action s'accélère

Aujourd'hui j'ai composé une affiche pour un concert et je me suis demandé : faut-il accentuer les majuscules. Dans ce cas, il s'agissait de majuscules mais aussi de capitales ?

Cela fait plusieurs années que j'accentue les majuscules, en fait depuis que je fais de la généalogie (je m'appelle NOËL et non pas NOEL, ma grand-mère s'appelait LÉCURIER et non pas LECURIER) et surtout depuis que je sais accentuer à l'aide des touches de mon ordinateur.

Quelquefois la majuscule est indispensable dans les titres sinon le texte peut prêter à contresens : UNTEL, DEPUTE, CHAHUTE A L'ASSEMBLEE : CHAHUTE ou CHAHUTÉ ?

Autrefois, on disait (on dit ?) à l'école qu'il ne faut pas accentuer les majuscules. Mais en fait, il semble que l'usage de ne pas accentuer vienne du fait que les claviers n'étaient pas adaptés.

J'ai trouvé plusieurs sites qui me confortent dans le fait qu'il faut accentuer.

Voici ce que j'utilise le plus souvent : pour faire É, il faut appuyer sur la touche Alt et en même temps taper 0201, ~ : Alt 126, È : Alt 0200, Ç : Alt 128, et ce n'est pas une majuscule mais ça peut servir : œ : Alt 0156

Bonne et heureuse année scolaire !

Sans la chanson de Sheila, passée des dizaines de fois, la fête de Marie, du Breuil, n'aurait pas été la même. Mais oui, Marie-Claire, la cloche a sonné, l'école est finie. Et tu nous as fait une belle fête : un décor d'école années 50, avec la vieille table, le tableau noir et sa phrase de morale, les livres de lecture "Nicole et Victor", les cahiers...

Et après le repas, finie la récré! Chacun a dû s'installer à la table de classe, tremper sa plume dans l'encre et copier la phrase de morale : "Ne remets jamais à demain ce que tu peux faire aujourd'hui". Malgré les conseils de Marie-Claire, une dernière fois maîtresse, munie de sa baguette, les mauvais élèves ont fait n'importe quoi. Taches, copie dans la marge, oubli de l'alinéa, "Ne fais pas à deux mains ce que tu peux faire avec une seule", bref, après ce fut la correction. Et le plus malchanceux, en pleurant, dut aller se faire coiffer du bonnet d'âne et reçut une tape sur les fesses.

Mais on te pardonne, Marie-Claire car le repas fut succulent, et l'ambiance super.

Le lendemain, heureusement c'était dimanche. Pas de classe mais sieste dans les hamacs et pétanque.