Cet écomusée regroupe des exemples des habitants d’ethnies différentes. Je n’ai pas trop aimé, cela m’a semblé artificiel, pas un vrai village.

village katu : maison des esprits

pipe à eau,

un monsieur joue de la musique (le sô ?) (c’est lui qui fabrique ses instruments).

Maison nié. Les katu ont moins d’enfants que les Nié. Les Nié vivent ensemble, plusieurs générations dans la même maison. Les Taoué, Nié, Katu, Laven font partie du même groupe ethnique, de langue mon-khmer.

Maison yahern : la dame chique le bétel. Elle porte de larges boucles d’oreilles.

une autre maison :

Maison des amoureux ta-oué : Le garçon lance un petit caillou à travers le trou

Chez les khamu, il y a un trou dans le plancher. Les hommes passent et mettent la main dans le trou. La jeune fille choisit celui qui lui plaît : main douce ou main calleuse ?

Chez les Hakka, la fille reste devant le kiosque des amoureux avec un bouquet de fleurs, elle choisit son amant. Le lendemain, elle peut en prendre un autre. Quand elle est enceinte, les garçons la demandent en mariage.

Quittant l’écomusée, nous traversons un pont de bambou (il a résisté !) pour aller voir les chutes Tat pha suam.

Nous rejoignons ensuite la ville de Paksé, 80 000 habitants, au confluent du Mékong et de la rivière Sé.