1 - place

 

2 – mosquée de l’imam

 

3 – mosquée du cheikh Lotfollâh

 

4 – palais Ali Qâpu

 

5 – porte du bazar

 

6 – palais Chehel Sotoun

 

7 – mosquée du vendredi

 

8 – palais Hasht Behesht

 

9 – madrasseh de la mère du Châh

 

10 – quartier arménien de Djolfâ

 

10 – pont Si-o-Seh pol

 

12 – Pont Khâdju

 

13 – Pont Shehvestân

 

14 – hôtel Safir

 

15 – musée de la musique

 

16 – pigeonnier

 

17 – restaurant Partikan

 

18 – restaurant Romanos

 

19 – miniaturiste Toghi Beheshti

 

Le pigeonnier : Posé au milieu du rond-point où se croisent les deux axes, ce pigeonnier du XVII è siècle pouvait accueillir jusqu'à 14 000 volatiles dans ses petites niches (les boulins) faites de chaux, plâtre et briques. Le pigeonnier fait environ 20 m de hauteur sur à peu près autant en diamètre. En Iran, on ne mange pas de pigeon. Les pigeons étaient élevés pour leur fiente. Mélangée aux cendres, la fiente servait d’engrais, notamment pour les cultures de melon d’Ispahan. La fiente était aussi utilisée pour assouplir les peaux. On pouvait produire jusqu’à 70 000 kg de fiente.

 

Dans ce pigeonnier, il y a cinq salles. Devant les boulins, il y avait un rebord pour empêcher les déjections d’aller dans le boulin du dessous.

 

En Iran, il y a beaucoup de pigeonniers, plus ou moins grands, plus ou moins sophistiqués, dans les villes et dans les campagnes.