• Lundi, il faiasait beau. Nous avons fait une balade de 4 heures dans le quartier de Belleville. 

    rue Oberkampf la cité du figuier :

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    rue des cascades :

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

     

    des dessins se cachent derrière les feuillages :

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

    A Belleville

     

    Salsifis : ça suffit !

    A Belleville

     

    au coin de la rue des cascades et de la rue des Savies :

     

    A Belleville

     

    au coin de la rue des Savies et de la rue des cascades : le regard Saint Martin. Il a été rénové au XVIIIè  par des religieux et il servait à observer les sources qui descendaient des collines (il y a d'autres regards dans la rue). A gauche, l'écusson représente Saint-Martin.

    la rue Fernand Raynaud :

    A Belleville

     


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  • Jeudi dernier, il faisait grand soleil et nous avons bien pu profiter de la visite de Notre-Dame (2 h 30 extérieur et intérieur). La sernière visite guidée avait eu lieu sous la pluie et par grand vent !

    Au XIV è siècle, la cathédrale était en piteux état ! Heureusement, Mérimée, Victor Hugo et Villet-le-Duc sont passés par là.

    Notre-Dame de Paris

     

    le tympan avec la pesée des âmes :

    Notre-Dame de Paris

     

    on triche du côté des diables : un petit diablotin appuie sur la balance pour que les péchés l'emportent...

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

     les gargouilles servent à évacuer l'eau de pluie :

    Notre-Dame de Paris

    alors que les chimères sont simplement décoratives :

     

    celle que nous cherchions sur la tour sud est en réalité sur la tour nord à l'intérieur : voici la stryge qui tire la langue.

    Evidemment, les photos seraient plus belles si elles avaient prises au même niveau mais pour cela, il aurait fallu monter en haut des tours.... et il y avait une queue trop longue. Nous n'avions pas le temps d'attendre !!!!

     Notre-Dame de Paris

     

    Notre-Dame de Paris

    d'autres chimères sur la tour sud

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

     

    Notre-Dame de Paris

     

    l'aire de plomb : Derrière cette balustrade, se trouve une sorte d'esplanade appelée l'aire de plomb. Des plaques de métal couvrent le sol et des bassins contiennent de l'eau pour les secours en cas d'incendie.

    Notre-Dame de Paris

     

    Les apôtres regardent vers le bas ; Viollet le duc s'est représenté en Saint Thomas, une règle à la main et regardant vers le haut

    Notre-Dame de Paris

     

    dans la galerie des rois, Viollet-le-duc s'est représenté (c'est celui du milieu)

     Notre-Dame de Paris

     

    à l'intérieur 

    Notre-Dame porte son enfant sur la hanche. Savez-vous pourquoi ? les premières étaient sculptées dans des défenses en ivoire et il fallait suivre la courbe. Ensuite, les sculpteurs ont continué de la même façon dans la pierre

    Notre-Dame de Paris

     

    le tour du choeur :

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

     

    la rose nord

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

     

    la rose sud :

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

    des vitraux du 14 è siècle :

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

    Notre-Dame de Paris

     


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  • Nous avions prévu d'aller hier à Paris pour écouter deux conférences de préparation à des voyages : Costa Rica, Thaïlande et Laos... Nous avons aussi parlé de la Birmanie. Au Costa Rica, beaucoup de nature : des oiseaux (aras, toucans, colibris et le fameux quetzal), des grenouilles, des papillons aux couleurs éclatantes, des singes... Des volcans... A envisager pour l'année prochaine ? Le Laos et la Birmanie aussi me font rêver ! 

    Pour l'instant, pas de voyages lointains envisagés, tant que l'épaule de Guy n'est pas bien remise... Naples et Capri .... et à l'automne : la Turquie...

    Avant ces deux conférences, nous sommes allés voir l'exposition des photos de Brassaï (http://quefaire.paris.fr/brassai) à l'hôtel de ville. Si vous n'y êtes pas allés, courez-y vite, elle est prolongée jusqu'au 29 mars. Entrée gratuite. Fermé le dimanche. Mais il faut compter une bonne heure de queue (heureusement, il faisait assez beau).

    mes préférées :

      brassai, photography

    J'aime beaucoup celle-ci, la dernière d'une série de 3 : première photo : deux garçons regardent, deuxième photo : un troisième arrive et troisième photo : la bande est au complet..

    Une journée à Paris, de futurs voyages...

     

    Celle-ci est très belle aussi

     

    Une journée à Paris, de futurs voyages...

     

    Et puis, un petit restau chinois, recommandé par notre prof. Je vous le recommande aussi. Tout est fait maison. Cuisine du nord-est de la Chine. Nous avons pris des raviolis grillés 如意饺子 煎 Rúyì jiǎozi  Jiānet vapeur 煮-Zhǔ- (5 € les 15, parfums variés), puis des nouilles sautées au poulet 鸡肉炒面 Jīròu chǎomiàn et du poulet aux cacahuètes et poivrons 宫保鸡丁 Gōng bǎo jī dīng. En dessert : des perles de coco et un sublime fondant au chocolat bien chaud et bien coulant (4 €). On a fait passer tout ça avec une bière tsin tao. En résumé, pas cher, très bon, la patronne parle très bien le français et très bien le chinois. Du coup, j'ai révisé mon vocabulaire (j'ai faim, j'ai trop mangé, c'est très bon, l'addition s'il vous plaît, merci, au revoir...). L'inconvénient, c'est que la salle est minuscule. J'avais réservé mais nous n'étions que 9 dans la salle. L'adresse : http://www.le-restaurant-chinois.fr/

    Nous avons manqué le train de quelques minutes, avons dû attendre le suivant 1 heure et sommes arrivés à la maison à 21 h 50. Mais bonne nouvelle (pas pour l'air) : en raison du pic de pollution, les transports étaient gratuits. L'air était vraiment pollué car je suis rentré avec les yeux qui piquaient....

     

     

     


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  • Il ne faisait pas très beau pour se promener dans Paris hier mais j'ai toutefois pris quelques photos :

    la place de la Bastille :

     Place de la Bastille et place des Vosges

     Place de la Bastille et place des Vosges

     Place de la Bastille et place des Vosges

     

    Henri IV fit bâtir à cet endroit une manufacture de tissage de la soie. La place est entourée d’arcades où se trouvaient des boutiques des  marchands. La place prit le nom de Place Royale dors de l’inauguration par Louis XIII à l’occasion de ses fiançailles avec Anne d’Autriche en 1612. Un jardin avec des grilles prit place au centre de la place en 1682. La place fut rebaptisée Place des Vosges en 1799 en l’honneur du premier département à s’être acquitté de l’impôt. La statue équestre de Louis XIII a été installée en 1825, en remplacement d’une autre, détruite pendant la Révolution.

    Maintenant, cette place est classée et les bâtiments abritent des galeries d’art et les appartements de personnalités. Victor Hugo occupa le deuxième étage de l’un de ces immeubles.

     Place des Vosges

    Place des Vosges

     

     


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  • Dans ce musée, sont exposés des objets de la Chine des Tang, de ravissantes statuettes de danseuses, de chanteuses, de joueuses de polo sur des chevaux, des chameaux, des boddhitsavas, le bouddha du futur, une magnifique statue de Guanyin aux 1000 bras et 1000 yeux (je ne les ai pas comptés !), des statues des rois célestes (je crois que c'était toujours le même : Virudhaka, celui qui est armé d'une épée : le roi du nord ?).

    Notre guide nous a expliqué la signification de plusieurs statues exposées au musée Guimet (musée des arts asiatiques). Voici la section consacrée à l'hindouisme en Inde. Il y a 33 333 333 dieux dans l'hindouisme.

    cette statue représente la danse cosmique de Shiva

    Au musée Guimet

    Shiva est représenté ici sous la forme de Nâtârâja, seigneur de la danse. 

    Shiva est souvent représenté avec un troisième œil, soit ouvert, soit fermé, symbole de la sagesse. Cette statue représente la danse cosmique de Shiva. Il est entouré d’un cercle de flammes, le prabhamandala il consumme les désirs dans le feu). Il a 4 bras : l’un porte un damaru (tambour avec une bille à l’intérieur) pour rythmer l’univers. C’est le moment où Shiva crée de belles choses. Avec une main, il montre un mouvement d’apaisement vers le sol (abhayamudra) mais du pied droit, il écrase le démon de l’ignorance Apasmara. Avec une autre main, il porte la flamme de la connaissance. Son pied gauche est levé en posture de danse. Dans son chignon, se trouve un croissant de lune, symbole du cycle du temps. Dans les boucles de ses cheveux, se trouve la princesse Ganga (déesse du Gange). La légende du roi Sagar explique la présence de Ganga dans la chevelure de Shiva.

     Au musée Guimet

    La danse cosmique de Shiva rythme la succession des jours, des nuits, des saisons, de la vie, de la mort pour finalement aboutir à la destruction du monde mais c’est mieux le faire renaître.

    Pour connaître la légende du roi Sagar, un clic ICI 

    Parvati est la femme de Shiva :

    Au musée Guimet

      Skanda, dieu de la guerre et chef de l'armée des dieux. Sa monture est le paon qui détruit les serpents nuisibles. C'est le fils de Shiva et Parvati :

    Au musée Guimet

    Ganesh est l'autre fils de Shiva et Parvati.

    Ganesh est le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de l’éducation et de la prudence, le patron des écoles. C’est le dieu qui lève les obstacles des illusions et de l'ignorance. C'est le fils de Shiva et Parvati.

     

    Il est représenté avec un gros corps d'enfant de couleur rouge possédant généralement quatre bras et une tête d’éléphant à une seule défense, Son gros ventre contient des petites boules qui représentent les planètes. Sa défense cassée lui a servi à écrire les Veda ou le Mahabharata. Son vâhana ou véhicule est un rat ou une souris, Mûshika..

     

    Les attributs les plus fréquents de Ganesh sont : une hache (parashu) qui lui sert à couper les obstacles, un lasso pour capturer l’erreur, un aiguillon à éléphant (ankusha) pour maîtriser le monde, un rosaire comportant 50 éléments, les 50 lettres de l’alphabet sanskrit et enfin un gâteau (modaka)..

     

    Et maintenant, quelques légendes :

     Un jour, Parvati, la femme de Shiva, voulut prendre un bain et elle créa un enfant à partir de poussière et d’onguents qu’elle avait raclés sur sa peau. Quand Shiva, rentrant d’une longue période de méditation dans l’Himalaya, voulut entrer dans la maison, Ganesh, qui ne le connaissait pas, ne voulut pas le laisser entrer. Furieux, Shiva lui coupa la tête. Inconsolable, Parvati raconta l’histoire à Shiva mais on ne put retrouver la tête de Ganesh. Shiva lui mit donc celle du premier être vivant qu’il rencontra, un éléphanteau. Parvati offrit à Ganesh des gâteaux sucrés (modaka)

     Alors que Ganesh était encore enfant, une souris gigantesque se mit à terroriser son entourage. Ganesh  captura la souris Mushika avec son lasso et en fit sa monture.

     On raconte aussi qu’une nuit Ganesh, après s’être goinfré de bonbons, voulut faire une promenade digestive, à dos de souris.Un serpent surgit sur le chemin. La souris, effrayée, fit un écart et Ganesh tomba, le ventre ouvert, les bonbons répandus sur le sol. Il remit tous les bonbons dans son ventre qu’il ferma avec le serpent en guise de ceinture. En voyant cela la lune éclata de rire. Ganesh lui lança alors la défense brisée et décida que la lune ne brillerait plus et qu’il n’y aurait plus de nuit. Comme cela posait des problèmes, il accepta le retour de la lune à condition qu’elle croisse et décroisse régulièrement. Depuis ce jour, lors des processions en l’honneur de Ganesh, on évite de regarder la lune.

     D'autres versions rapportent que la tête d'éléphant substituée à celle de l'enfant avait déjà une défense brisée.

     Avant chaque danse hindoue, on doit faire une prière à Ganesh.

      Au musée Guimet

     

    art khmer

    Indra brandissant le foudre sur l’éléphant tricéphale Airâvapa – linteau , Cambodge, provenance exacte inconnue, style de Pré rup, troisième quart du X è siècle, grès

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Sculptures au musée Guimet

     

     Harihara : Asram Maha Rosei, district de Prei Kabas ; province de Ta Keo, style du Phnom Da, VII è siècle ( ?), grès. Cette statue avait un pilier d'appui. Elle représente à la fois Vishnou (à droite , porte la tiare et tient le chakra) et Shiva (à gauche : mitre, écailles, troisième oeil et peau de tigre)

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Skanda est le fils de Shiva et Parvati. Sa monture est Paruni, le paon

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Fronton de Nanteay Srei. Les asura Sanda et Upusunda se disputent l'apsara Tilonama. Ils se battent à coup de gourdin et s'assomment l'un l'autre 

     

    Sculptures au musée Guimet

     

     

     

     Vajimukha (Sambor Prei Kuk N7, province de Kompong Thom, style Pre Rup, troisième quart du X è siècle, grès) 

     

    Sculptures au musée Guimet

     

      divinité féminine (Popel – district de Romduo – provine ce Svay Rieng – seconde moitié du VII è siècle ou VIII è siècle – grès. Joli déhanchement

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Sculptures au musée Guimet

     

     

     

     linteau – Prasat Kok Po A (Angkor) district de Puok - style de Preah Ko- dernier quart du IX è siècle – grès . au centre : Vishnu sur sa monture Garuda entre deux têtes monstrueuses (kâla ou kirtimukha), aux extrémités : garauda terrassant des naga

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Sculptures au musée Guimet

     

    Sculptures au musée Guimet

    scène du Kumarasambhava ( ?) Preah Pithu (Angkot Thom) style du Bayon _ fin XII è début XIII è Shiva cherchant à éprouver la confiance que lui voue la déesse. A gauche : Parvati rendant hommage à Shiva qui s’est fait reconnaître.

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    je n'ai rien noté sur cette sculpture :

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Garuda

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

     

    partie inférieure de fronton – Bayon (Angkor Thom) style du Bayon _ fin XII è début XIII è siècles – grès

    apsaras

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    fronton – visite d’Indra au Buddha ds la grotte d’Indrasaila ( ?) Preah Khan – district de KOmpong Svay – province de Kompong Thom - ) style du Bayon _ fin XII è début XIII è siècles – grès

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    apsaras – Terrasse des éléphants (Angkor Thom) – art post-angkorien – XVI è ( ?) grès

    Art kmer au musée Guimet (suite)

     pilastre d’angle – Terrasse des éléphants (Angkor Thom) – art post-angkorien – XVI è ( ?) grès

    devata

    Art kmer au musée Guimet (suite)

     

    extrémité de balustrade -  Naga avec un Garuda (les deux sont ennemis) - Preah Thkol – Preah Khan – district de Kompong svay – province de Kompong Thom – début du style du Bayon – deuxième moitié du VII è siècle – grès

    Art kmer au musée Guimet (suite)

     

    29 – linteau -  Preah Pithu – Angkor Thom – style d’Angkor Vat – milieu du XII è siècle – grès – au centre : Vishnu sur le serpent Sesa (ou Ananta). A ses pieds : son épouse Sri (la Fortune, la Beauté) lui massant les jambes.

    Art kmer au musée Guimet (suite)

     

    linteau – Vat Baset – district et province de Battambang – style de Baphuon – XI è siècle _ grès – à gauche : alliance de Rama et de son frère Laksmarna avec Sugriva – au centre : combat des singes Sugriva et Valin – à droite : mort de Valin (scènes du Ramayana)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

     linteau – Vat Kralanh (Angkor), district d’Angkor Chum – province de Siemreap – style du Baphuon – XI è siècle – grès – au centre : surmontant la face monstrueuse du kala (ou kirtimukha), Siva et Parvati sur le taureau Nandin

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    33 – les neuf Devas – provenance exacte inconnue – style des Khleang – dernier quart du X è siècle , début XI è – grès – de gauche à droite : 1 Surya (le Soleil) sur un char tiré par deux chevaux - 2 Candra (la lune) sur son piédestal - 3 Yama (juge des morts, gardien du Sud) sur le buffle – 4 Varuna (dieu des eaux, gardien de l’Ouest) sur le hamsa (oie)- 5 Indra (roi des dieux , gardien de l’Est) sur l’éléphant  - 6 Kubera (dieu des richesses, gardien de Nord) sur le cheval ( ?) – 7 Agni (dieu du feu, gardien du Sud-Est) sur le bélier – 8 Rahu (démon de l’Eclipse) dans un tourbillon de nuages – 9 Ketu (la Comète) sur le lion

    Art kmer au musée Guimet (suite)

    la Birmanie au musée Guimet :

    Quand nous sommes allés voir l'exposition Han au musée Guimet, nous avons fait un petit tour dans les collections permanentes, section Birmanie.

    Nous avons vu de très belles statues de Bouddhas, je les dédie à Aung, notre guide en Birmanie.

    1 – Bouddha Märavijaya paré , art Shan (XIX è) bronze. L’inscription grave sur le socle precise le nom du donateur et les circonstances de la donation

    La Birmanie au musée Guimet

    2 - Bouddha Märavijaya paré , art Shan (XVIIIe-XIXè), bois laqué et doré

    La Birmanie au musée Guimet

    3 – Bouddha, art de Mandalay XIXè , bronze

    La Birmanie au musée Guimet

    4 – Bouddha, art de Bagan XIIè bronze

    La Birmanie au musée Guimet

    5 manuscrit XIX è , feuilles de latanier laquées et dorées, couverture en bois laqué or et rouge, formulaire de cérémonie d’ordination employé dans les monastères à l’occasion des célébrations très importantes. Les feuillets sont calligraphiés en caractères päli carrés. En Birmanie, la langue päli, indo-européenne, est encore utilisée comme langue liturgique.  Les premiers textes bouddhiques, les tipitaka, sont écrits en langue päli.

    Exemple trouvé dans Wikipédia : Dhammapada, « Yamakavaggo patṭhamo » (« Versets conjugués »), verset 1 : 

    devanāgarī :

    मनोपुब्बङ्गमा धम्मा मनोसेत्था मनोमया । मनसा चे पदुत्थेन भासति वा करोति वा । ततो नं दुक्खमन्वेति चक्कमं ऽव वहतो पदं 

    Transcrption traditionnelle :

    Manopubbaṅgamā dhammā, manosetthā manomayā,
    Manasā ce padutthena, bhāsati vā karoti vā,
    Tato naṃ dukkhamanveti, cakkaṃ’ va vahato padaṃ.

    Traduction :

    Le mental est l'avant-coureur des conditions, le mental en est le chef, et les conditions sont façonnées par le mental. Si, avec un mental impur, quelqu'un parle ou agit, alors la douleur le suit comme la roue suit le sabot du bœuf (traduction du Centre d'études dharmiques Gretz)

    La Birmanie au musée Guimet

    6 – Bouddha Märavijaya paré, art Birman, XV è-XVI è, bronze laqué et doré

    La Birmanie au musée Guimet

     

    7 – Bouddha paré, art Birman post-Bagan, XIV è, bois laqué et doré 

    La Birmanie au musée Guimet

     

     

     


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