Ce musée des ARts déco est installé dans l'hôtel de Camondo, en lisière du parc Monceau.

En 1910, Moïse de Camondo hérite de cet hôtel que son père avait fait construire en 1873 sur des terres achetées à Emile Pereire.
Cet hôtel était destiné à son fils Nissim qui disparaît dans un combat aérien en 1917. A sa mort, en 1935, Moïse de Camondo lègue cet hôtel à l'Etat, à condition que ses collections soient conservées dans l'intégralité et que ce musée, qui deviendra le musée des Arts décoratifs, porte le nom de son fils Nissim auquel il était destiné.
Les collections sont surtout des oeuvres de la fin du XVIII è ; j'ai particulièrement aimé les dessins de Chardin, tout y est :  La pourvoyeuse, le Bénédicité, l'autoportrait...
Beaucoup de beaux meubles aussi, de Reisener par exemple, des tableaux de Mme Vigier-Lebrun,


Dans la salle de bains, un sèche-serviettes qui chauffe grâce à des tuyaux remplis d'eau chaude

les petites tables : celle à dessus de porcelaine servait à mettre un verre car l'eau aurait pu endommager les dessus en marqueterie
Si vous voulez vous renseigner sur ce musée, cliquez ICI, le site du musée est fort bien fait avec des photos, des textes

baromètre 1709, c'est le grand hiver,

bibliothèque

 bureau

cabinet de porcelaine Chantilly

chambre

cuisine

plafond de la cuisine

cuisine salle à manger du personnel

les deux statues d'enfants sont drôles : le petit garçon tient un oiseau dans ses mains, prêt à le mettre dans le nid de la petite fille qui lui fait face

la voyeuse du grand bureau est une chaise qui permettait aux spectateurs de regarder les joueurs : les femmes se mettaient à genoux et les hommes à califourchon.

grand salon

Dans la salle de bains, un sèche-serviettes qui chauffe grâce à des tuyaux remplis d'eau chaude

salon des Huet

rafraîchissoir

 petite table à dessus de porcelaine servait à mettre un verre car l'eau aurait pu endommager les dessus en marqueterie

 vestibule, ascenseur

Caro (Croisez les fils) cherche un Tentakulum turkis (couleur turquoise) pour terminer une ouvrage.
Peut-être quelqu'une pourrait la dépanner !

Ma recette de tarte Tatin, pas difficile à faire, à condition de bien surveiller. Ne pas broder en même temps !

une pâte brisée ou feuilletée, à faire ou à acheter
5 à 6 pommes Golden
100 g de beurre
150 g de sucre

Eplucher les pommes en évidant le centre et les couper en deux dans le sens transversal.
Beurrer un moule à tatin ou un moule à bords assez hauts avec presque tout le beurre et verser dessus presque tout le sucre
Faire caraméliser en surveillant bien !
Ranger les pommes côté bombé sur le fond et boucher les trous. Verser dessus le reste du sucre et de beurre
Mettre au four 180 à 200° pendant 15 min
Placer la pâte dessus en piquant avec une fourchette
Mettre au four 15 à 20 min
Retourner sur un plat (quelquefois le bord casse !)
Servir chaud ou tiède avec une boule de glace, de la crème ou nature. En principe la tarte ne se réchauffe pas

Recette solognote, enfin vous connaissez l'histoire des demoiselles Tatin !

J'ai enfin terminé mon coeur pour la ronde que Franquie organise : une semaine de retard ! mais comme  je passe ma toile à Guy, j'économise le temps de transport ! J'avais choisi comme thème les coeurs. J'ai brodé celui-ci en référence à notre voyage en Egypte (sur étamine 10 fils en 1 fil sur 1 fil, grille d'I. Vautier) et Guy va me broder un coeur d'I Vautier (fleur d'oranger c'est une odeur qui me rappelle les crêpes de mon enfance)
Maintenant je m'attaque à la toile de Volsul


Terminées aussi mes deux lignes de points (SAL organisé par Cedibo) cette semaine : le point de Smyrne et le point d'éventail, tous les deux très agréables à travailler et donnent du relief

Les phrases de Jules, 2 ans et quelques mois, sont presque toutes émaillées de MOI :
Je m'appelle Jules, MOI
C'est à MOI, ç !
C'est MOI qui commande ! Ah bon ? mais après il se reprend quand même, c'est Mamy qui commande.
Mon papa et ma maman à MOI !

Alors Jules je te dédie une version "pingouin" de "ça plane pour moi" (si les grands veulent écouter la version de Plastic Bertrand, c'est ICI !)
et bien sûr "ET moi, et moi, et moi !"