• Tout d'abord, une pensée pour les passagers de l'avion qui s'est abîmé en mer. Heureusement, quand nous partons, nous n'avons pas trop peur, mais le destin est parfois tragique.
    Ce jour-là, nous nous levons à 3 h 15 (un peu inquiète car dans la nuit j'avais pris 3 imodiums, vous voyez ce que je veux dire...), nous partons en car d'Antigua pour l'aéroport de Guatémala City. Peu de monde dans l'aéroport mais il faut enlever les chaussures, les ceintures pour passer au contrôle. Certains avaient tenu à garder la bombe anti-moustiques (à l'arrivée, à Florès, on se trouve dans la jungle), les bombes sur lesquelles est dessiné un moustique passent, pas les autres. Les statuettes en obsidienne posent aussi problème. Nos bagages à main sont trop gros pour être mis au dessus de nos têtes, elles voyageront donc à l'avant de l'avion. Car l'avion ATR-42, de la compagnie TACA est petit : 44 places et c'est un avion à hélice. Il vole à 600 km à l'heure à une altitude de 2500 m. On voit donc très bien le paysage : les volcans de Guatémala City (Agua a deux sommets, Fuego est pointu et Pacaya est arrondi, ces deux derniers sont actifs) puis les rios, puis la canopée de la forêt tropicale. La ville de Florès est, comme toutes les villes que nous avons visitées, de construction géométrique. Elle se trouve dans la région du Petén, au bord du lac de Petén Itza.


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  • Viste d'une plantation de café près d'Antigua (Guatemala)
    Les caféiers poussent à l'ombre des arbres, par exemple de bananiers.
    Cette plantation de 400 ha a 10 ans et contient 10 000 arbres.
    80 personnes y travaillent.
    Ces caféiers sont des arabica (fruits rouges), les robusta ont des fruits jaunes. Pour avoir un bon café, il faut mélanger arabica et robusta.
    Les grains sont cuillis quand ils sont rouges. Il y a deux grains par baie. Les grains sont mis à sécher pendant 2 jours puis ils sont torréfiés.
    Un plant produit de 25 à 30 kg de café, ce qui donne 12 kg après torréfaction.

     


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  • Quelques vues encore de cette belle ville coloniale qu'est Antigua.
    le volcan Agua, l'arc Sainte Catherine qui permettait aux religieuses de passer sans être vues, le couvent des Carmélites démoli par un tremblement de terre, des scènes de rues, portage de paquets, costumes, maisons aux fen^tres garnies de grilles (pour éviter que les demoiselles espagnoles ne rencontrent les galants quand le père n'était pas là), ce jour-là elles étaient garnies de tissus violets pour la semaine sainte.


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  • Quelques vues de l'hôtel de charme qui nous a accueillis ce soir-là. Cocktail de bienvenue, évidemment, au son des marimbas. Dans la cour une dame tissait et vendait ses broderies. Vous remarquerez aussi la décoration violette pour la semaine sainte. Le soir, penadant le repas (potage de haricots noirs, guacamole, bifteck, fromage et beignet de banane), nous avons assisté à un spectacle de danses avec masques, danses du temps de de la conquête espagnole.


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  •  Oui, il s'agit bien d'un tapis de sciure de bois collée sur de la cire. Celui-ci se trouvait dans l'église de la Merced devant la statue d'un christ de 12 à 13 tonnes que l'on promène dans les rues avec une bonne douzaine d'autres statues (en photo, celle de la Vierge) dans les rues d'Antigua, lors de la semaine sainte.
    Les rues sont alors décorées de ces tapis éphémères qui sont refaits tous les jours. La décoration de la semaine sainte commençait, les fenêtres des maisons étaient recouvertes de tissus violets et même les rampes des escaliers à l'hôtel.
    L'église de la Merced, avec cette jolie façade jaune, décorée de stucs balncs, a été construite en 1548. Elle a été démolie suite à des tremblements de terre et reconstuite plusieurs fois (le dernier tremblement de terre date de 1976).
    A côté de l'église, se trouve un monastère. On peut monter sur la terrasse pour admirer le panorama (les trois volcans, l'Agua, le Fuego et l'Acatenango) . On, a également vue sur le jardin du monastère et sa fontaine (27 m de diamètre, la plus grande d'Amérique latine) en forme de nénuphar, symbole de puissance chez les nobles mayas.


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