• Le marché aux épices (ou marché égyptien) se trouve près de Yeni Camii.

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

     

    la viagra turc, pâte du Sultan

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

     

    je ne sais pas ce que c'est. Le savez-vous ? C'est une courge éponge (luffa). Merci à Elisa qui m'a donné la réponse ! 

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

    Le marché aux épices d'Istanbul

     


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  • Elle a été construite par l’architecte Sinan pour le Grand Vizir Rüstem Paşa

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

    Rüstem Paşa était marié avec Mihrimah, la fille préférée du Sultan Soliman le Magnifique et de Roxelane. Il collaborait avec Roxelane.

    Sinan était l’architecte de Soliman le Magnifique. Il a construit des ponts, des hammams, des bâtiments pour les pauvres (imarets) où sont encore servis des repas gratuits pendant le Ramadan, et bien sûr des mosquées (mosquée des Princes, mosquée de Soliman).

    La mosquée de Rüstem Paşa est une mosquée impériale avec ses annexes (école, imaret, hammam).

    Les murs intérieurs sont couverts de magnifiques faïences d’Iznik, de style naturaliste. Elles représentent des œillets et des tulipes, emblèmes de la Turquie, des roses, des lys, des marguerites, des lilas, des cyprès. Le sultan Ahmed III (1703-1730) plantait des tulipes dans son jardin et le soir, il mangeait, dansait. Du point de vue militaire, cette période, appelée « ère des tulipes » était une période de décadence.

     

    Au XVIII è siècle, les sultans ont cédé leur pouvoir religieux à un calife.

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

     

    le minbar

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

     

    le balcon des femmes

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

     

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

     

    le minrhab :

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

    La mosquée de Rüstem Pacha à Istanbul

     

     


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  • La quatrième cour  (cour du palais d’été) comporte une terrasse qui offre une vue magnifique sur le Bosphore.

    Pavillon de Bagdad (mosaïques bleues d’Iznik) construit par Murat IV pour commémorer la prise de Bagdad en 1638.

    .Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

     

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Salle des circoncisions (Sünnet Odasi) : mosaïques en forme de tapis de prière tournés vers la Mecque avec deux arbres de vie entrelacés.

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

     

    des mosaïques d'Iznik amis aussi des mosaïques de  Delft :

    Topkapi : la quatrième cour (Istanbul)

     

     

     


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  • Dans le harem, il y a 300 pièces, toutes ne se visitent pas. Il y avait jusqu’à 1000 femmes au harem. La mère du Sultan (Valide Sultan) régnait sur le harem.

     La vie n’était pas toujours drôle dans cette juxtaposition de pièces, de sombres corridors où les intrigues et les meurtres étaient fréquents. Les filles étaient de jeunes chrétiennes capturées dans les pays conquis puis éduquées. La moindre personne dans le harem devait avoir une bonne éducation. Les filles devenaient servantes, musiciennes, professeurs, concubines. Les servantes esclaves vierges (odalisques) servaient les concubines. Si une odalisque était remarquée par la mère du sultan, elle pouvait devenir concubine et même femme du sultan. Il était rare que le sultan se mariât. Soliman a fait exception en épousant Roxelane.

    Les concubines complotaient. Celles qui donnaient une descendance au sultan devenaient deikhaller (heureuse) ou kardin efendi (femme légitime du sultan). Si le fils d’une des femmes devenait sultan, sa mère devenait sultane validé. Le sultan pouvait avoir quatre kardin efendi. Roxelane, de simple esclave, devint la femme légitime de Soliman le Magnifique. Il semble qu’elle ait eu un rôle dans l’élimination du grand Vizir Pargali Ibrahim Pacha, pourtant ami de Soliman. Elle complota aussi pour faire assassiner Sehzade Mustafa, fils aîné du sultan et d’une autre femme. Son fils Sélim II succèdera à Soliman.

    Une française, Aymé Dubucq de Rivery devint validé.

    Les eunuques veillaient sur cet univers clos : les Blancs surveillaient l’extérieur et les Noirs étaient à l’intérieur. Ces derniers étaient complètement émasculés. Il y eut jusqu’à 600 eunuques dans le harem. Le chef des eunuques (kialar agasi) était un personnage très important et riche. L’un d’eux avait 300 chevaux.

     

    Un couloir étroit s'appelle la Voie d’or : dans ce couloir, les femmes du Palais étaient alignées et applaudissaient le Sultan qui, en passant, jetait des pièces d’or.

    la cour des eunuques :

    Tokapi : le harem (Istanbul)

     

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

     

    cour des concubines :

    Tokapi : le harem (Istanbul)

     

    appartements de la sultane validé :

     

    Tokapi : le harem (Istanbul)

     

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    appartements du sultan :

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

    Tokapi : le harem (Istanbul)

     


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  • Le palais de Topkapi (prononcer : Topkape)

    Le palais de Tokapi a été construit par le padisha Mehmet II de 1465 à 1478 à l’emplacement de l’antique acropole de Byzance. Il fut abandonné en 1853 pour un palais à l’européenne, Dolmabançe, sur les rives du Bosphore. Il fut transformé en musée en 1924.

    Il y eut jusqu’à 5000 employés au palais.

    Nous traversons  la première cour, celle des janissaires. Les janissaires étaient de jeunes enfants chrétiens kidnappés dans les pays conquis. Ils étaient convertis à l’Islam et éduqués (vers 10 à 15 ans). Ces enfants obtenaient des postes importants, certains devenaient même vizirs. D’ autres devenaient janissaires. Au cours des siècles, ils eurent de plus en plus de pouvoir, allèrent même jusqu’ à se révolter (on disait « renverser le chaudron ») et même assassiner deux sultans. En 1826, Mehmet II décida de dissoudre le corps des janissaires et les fit massacrer.

    Nous entrons dans la deuxième cour  par la porte du milieu (porte du salut). Seul le Sultan avait le droit de franchir la porte à cheval.

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    Dans cette cour se trouvait la fontaine du bourreau. Les exécutions étaient nombreuses au palais, notamment les frères et neveux du sultan qui étaient assassinés pour qu’ils ne puissent pas comploter contre le sultan. Il n’y avait pas de règle de succession avant le XVIII è siècle. Ces assassinats ont été interdits après 1603 et les frères du sultan étaient enfermés.

    Le Divan siégeait dans un bâtiment de cette cour. Ce mot désigne l’ensemble des vizirs qui se réunissaient pour discuter. Le Sultan écoutait derrière une fenêtre grillagée.

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    Nous visitons d’abord les cuisines qui renferment une très belle exposition de celadons Song et Yuan (le celadon changeait de couleur quand on y versait des aliments empoisonnés), de porcelaines Ming, de porcelaines de Sèvres, d’argenterie.

    La porte de Félicité donne accès à la troisième cour où le sultan jetait des pièces d’or. De vieux platanes creux y sont plantés.

    Le palais de Topkapi à Istanbul

     

    À la fin du XIX è siècle, les funérailles y étaient organisées.

    Dans les anciens hammams, se trouve une collection de vêtements anciens, caftans, salvars.

    Nous visitons ensuite la salle du trésor où sont exposés des objets magnifiques. Les plus célèbres sont le poignard Hançer orné de trois énormes émeraudes (il a fait l’objet du film de Jules Dassin « Topkapi ») et le « diamant du marchand de cuillères » (Kaşikçi) de 86 carats entouré de 49 énormes diamants. Nous avons aussi admiré une émeraude de 3,260 kg. Le vert est une couleur sacrée pour l’Islam.

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    Le palais de Topkapi à Istanbul

    (photos du net, elles étaient iterdites)

    Le pavillon Hirka-i Saadet est consacré aux reliques saintes : manteau, étendard, dent, épée, poils de barbe de Mahomet, clé et serrure de la Kaaba. Il faut entrer voilées, un imam chante les versets du Coran, des visiteurs prient. Une autre salle expose des  portraits et miniatures, l’arbre généalogique des sultans.

    Demain, je vous montrerai le harem


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