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Après un repas au restaurant O’trefois, nous retrouvons Mylène, notre conférencière pour la visite du domaine royal de Dreux, principalement la chapelle funéraire royale.

 à droite, la maison où est né François-André Danican Philidor (1726-1785, musicien et joueur d’échecs, auteur de l’ouverture dite « la défense Philidor »).

à gauche, l'entrée de la crypte

un timbre a été édité :

le vicomte Beaurepaire-Louvagny est tombé du dôme en 1870 en faisant des repérages pour voir étaient les armées prussiennes :

Mylène nous emmène d’abord sur une grosse tour des remparts.

Plan de la chapelle :

1 Louis-Philippe et Marie-Amélie

2 et 3 Ferdinand-Philippe et Hélène de Mexklembourg

5 Madame Adélaïde

6 Marie-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre

7 Bathilde d’Orléans

10 Philippe d’Orléans

14 et 15 le duc et la duchesse d’Aumale

16, 17, 18 et 19 les enfants du duc d’Aumale

20 cénotaphe de Louis d’Orrléans et (derrière) Jacques et Charles d’Orléans

22 Françoise d’Orléans

23 louis d’Orléans duc de Nemours

24 duchesse d’Alençon

26 François, prince de Joinville

34 Henri d’Orléans

36 Marie d’Orléans

 

Dreux a été peuplé par les Durocassses qui s’étaient installés le long de la Blaise (Blet = le Loup en gaulois)

Une cité fortifiée s’installe au pied du promontoire rocheux puis une forteresse est construite sous Philippe-Auguste.

La forteresse souffre au moment des guerres de religion. La ville soutient les Guise (Catherine de Médicis est Comtesse de Dreux). Le 19 décembre 1562 voit la défaite des protestants (menés par Condé et Coligny) au cours de la bataille de Dreux.

CLIC pour écouter l'implication de Catherine de Médicis dans la ville de Dreux.

 

Henri IV fait le siège de la ville en 1590. Il échoue mais revient en 1594. La ville est mise à sac et la forteresse démantelée mais la collégiale et la maison de l’évêché ne sont pas touchées. Depuis 1611, la forteresse appartient à la famille de Bourbon.

Louis XV cède le domaine à Charles de Bourbon, comte d’Eu.

 

Tout reste en l’état jusqu’à Louis XVI. À cette époque, le comte de Dreux était le duc de Penthièvre dont Mylène nous a déjà parlé lors de la visite du château de Rambouillet.

Un petit rappel : Le comte de Toulouse, Louis-Alexandre de Bourbon, fils de Louis XIV et de Mme de Montespan, épouse Marie Victoire Sophie de Noailles (1688-1766), veuve de Louis de Padaillan de Gondrin. Normalement, ce mariage ne peut se faire car le Comte de Toulouse est fils de roi. Mais ils tombent amoureux et se marient en cachette. Le comte de Toulouse achète le château de Rambouillet.

En 1725 , naît celui qui deviendra le duc de Penthièvre, Louis Jean Marie de Bourbon (1725-1793) :

Son père veut qu’il soit, comme lui, grand amiral de France mais sa mère veut qu’il reste près d’elle. Le jeune duc n’ira pas se former sur les mers, son père fait venir des marins bretons pour appendre la navigation sur les canaux du parc de Rambouillet. Et le duc deviendra, en prime, très pieux, bon et généreux comme le voulait sa mère. On l’appelait le « prince des pauvres ».

Son cousin Louis XVI, ayant jeté son dévolu sur le château de Rambouillet, l’achète et en compensation cède Dreux au duc de Penthièvre.

Le duc avait été très éprouvé par la mort de son père (il avait 12 ans), puis celle de son épouse (Marie Thérèse Félicité d’Este), puis celles de sept de ses huit enfants. Avant de quitter Rambouillet,il demande au roi l’autorisation d’emporter les corps des défunts qu’il fait installer en 1783 sous la collégiale de Dreux. Il y a neuf corps : son père, sa mère, sa femme, son fils le prince de Lamballe (mort à 21 ans de syphilis) et cinq enfants.

 

La Révolution arrive, sa bru, la princesse de Lamballe, qu’il aimait beaucoup et pour qui il avait fait édifier la maison aux coquillages à Rambouillet, est exécutée et sa tête promenée au bout d’une pique. Le Roi est guillotiné. Le duc meurt de chagrin en mars 1793.

 

De la famille, il ne reste que Louise Marie Adélaïde de Bourbon-Penthièvre, duchesse de Chartres, qui récupère le patrimoine. Elle n’aime pas son mari Louis Philippe d’Orléans qu’on connaîtra sous le nom de Philippe-Égalité. Ils se séparent en 1790. Elle est très pieuse et sensible aux progrès de la science car elle se fait inoculer des vaccins.

De nuit, elle enterre son père mort en 1793 . Elle s’exile en Espagne de 1797 à 1814 avec le conventionnel et gendarme Rouzet. À son retour, elle constate que les sépultures de la chapelle ont été profanées et les restes mis dans une fosse commune. Elle installe les ossements qu’elle retrouve dans une chapelle qu’elle fait construire. Cette chapelle est construite entre 1816 et 1822, en style néoclassique, avec une rotonde, des colonnes doriques. Il n’y avait pas de fenêtres, seulement un éclairage zénithal. Certains matériaux proviennent de l’abbaye bénédictine de Coulombs et des ruines du château de La Ferté-Vidame. Marie Adélaïde meurt d’un cancer du sein en 1821, juste avant la fin de construction de la chapelle. Elle est enterrée dans la crypte où il y avait déjà Françoise d’Orléans, sa petite-fille, morte à deux ans en 1818.

La relation entre Marie Adélaïde et le gendarme Rouzet, racontée par Michel de Grèce, descendant de Louis-Philippe par sa mère. : CLIC

Entre 1839 et 1944 , son fils Louis-Philippe, devenu roi des Français en 1830, poursuit l’œuvre de sa mère en transformant et agrandissant la chapelle et décide que ce sera le lieu de sépulture pour tous les membres de la famille d’Orléans.

la reine Marie-Amélie :

La chapelle est construite en style néogothique comme l’avait voulu Marie Adélaïde. La chapelle est beaucoup plus décorée que la chapelle primitive : chapelles, clochetons, pinacles, balustrades ajourées, façade gothique qui remplace le péristyle d’origine., larges fenêtres garnies de vitraux..

Ce bénitier, vrai coquillage, est classé au patrimoine. J’ai lu qu’il a été rapporté d’Océanie par l’un des fils de Louis Philippe. L’autre partie du coquillage se trouve de l’autre côté de la nef.

Sa fille, Marie d’Orléans, sculptrice, participe à la décoration. Elle est inhumée à Dreux en 1839.

Peu de temps après, le prince royal, décédé par accident, est inhumé en 1842.

 

Quand la chapelle fut à peu près terminée, en 1844, les corps déjà inhumés furent mis dans des tombeaux surmontés de gisants.

la chapelle Saint-Arnould :

 

Les vitraux :

À gauche de l’entrée, le vitrail de Sainte Adélaïde, reine de Lombardie, distribuant l’aumône aux pauvres, à gauche de l’entrée, rappelle le souvenir de Marie-Adélaïde, mère du roi. (voir plus haut)

Au total, il y a 20 verrières qui proviennent de la manufacture de Sèvres (avec le fameux bleu de Sèvres). Louis Philippe fait appel à Ingres, Delacroix, Vernet, Flandrin.

Les vitraux sont faits d’après des cartons de Delacroix, Vernet, Flandrin. Viollet-le-Duc a dessiné les bordures des pinacles.

Certaines personnages ont les visages de personnes de la famille royale.

Transept nord : Geneviève de Paris ; Saint Denis ; Clothilde ; Ferdinand III de Castille (prise de Cordoue et de Séville en 1236 et 1237) sous les traits de Ferdinand Philippe, premier fils du roi ; Amélie reine de Hongrie ; Philippe (apôtre) qui a les traits de Louis Philippe.

Philippe (apôtre) sous les traits de Louis-Philippe

statue de Philippe, apôtre, pilier sud :

Transept sud : Louis IX (dit Saint Louis), Isabelle de France (sa sœur), Saint Germain de Paris, Radegonde de Poitiers, Rémi de Reims, Bathilde épouse de Clovis II

Louis XI et Isabelle de France :

statue de Louis IX, pilier nord

dôme central : la Pentecôte

Les sépultures :

Il y a environ 60 tombeaux. Dans la plupart des tombeaux il y a les corps. Certains sont surmontés de gisants, d’autres non. Les premiers gisants ont été sculptés par Pradier.

le roi Louis Philippe et la reine Marie-Amélie en position d’orante (cette sculpture de Mercié, en ronde bosse, date de 1886) dans la chapelle de la Vierge dont les vitraux racontent la vie de saint Louis. L’ange est une allégorie de la monarchie déchue. Le roi et la reine sont partis en exil en Angleterre après la Révolution de 1848 où ils sont morts. Leurs restes ont été transférés en 1876. N° 1

 

 

Ferdinand, fils de Louis-Philippe, décédé par accident de la circulation (les chevaux s’étant emballés, il a été projeté hors de la voiture) en 1842. C’est celui qui est représenté sous les traits de Ferdinand de Castille sur le vitrail. Son gisant a été réalisé très vite et est un peu grossier. N° 2

Derrière lui, se trouve son épouse, Hélène de Mecklembourg-Schwerin, décédée 16 ans plus tard. Elle est mise en retrait dans une chapelle séparée du tombeau de son mari par une arcade, car elle était protestante. Son gisant a été sculpté par Chapu. La statue est davantage empreinte d’émotion. Elle tend la main vers son époux, elle a les yeux ouverts. N° 3

 

Marie-Adélaïde d’Orléans (1777-1847) dite Madame Adélaïde, sœur de Louis Philippe. Elle est restée célibataire. Peinte par Marie-Amélie Cogniet (château de Chantilly). Son frère la consultait tous les jours. N° 5

Marie d’Orléans, fille de Louis-Philippe. À droite de la chapelle. Ce fut le premier enfant que Louis-Philippe a installé ici avec un premier gisant. Plus tard, la famille demanda un nouveau gisant plus beau. Elle était sculptrice, ce qui est évoqué par une miniature de la statue de Jeanne d’Arc qu’elle avait sculptée. Derrière elle, une palme. Elle avait suivi des cours de dessin auprès de Ary Scheffer (le portrait qu’il en fait se trouve au musée de Chantilly). Les deux anges ont été sculptés par Marie d’Orléans (l’ange de la Résignation au-dessus de son gisant et un autre, pleurant, en face, au-dessus de la tombe sans gisant de Bathilde, sœur de Philippe-Égalité et épouse du prince de Condé.) N+ 36

 

Marie-Adélaïde, la mère du Roi. Le tombeau contient aussi les restes de ses grands-parents, parents, fratrie. N° 6

Nous allons dans le déambulatoire nord, côté gauche par rapport à la chapelle.

le gisant qu'on aperçoit sur la droite est celui de Philippe d'Orléans, dit "le prince gamelle. Il a fait don de ses trophées de chasse au Museum d'histoire naturelle. N° 10

N° 7 Bathilde d’Orléans, (1750-1822), dite « Citoyenne Vérité », sœur de Philippe-Égalité. Mariée au Prince de Condé. C’est la mère du duc d’Enghien, fusillé dans les fossés de Vincennes en 1804. Elle eut aussi une fille illégitime qu’elle mariera à Gros (ce sont les parents du peintre Gros ; de cette branche est issu l’aviateur Guynemer).

Gisants des enfants dans le déambulatoire.

Françoise, Mademoiselle de Montpensier, morte à deux ans. C’est un très beau travail de polissage. N°22

l’enfant voilé, cénotaphe de Louis d’Orléans, mort en 1874 (sculpture de Millet). Il est enterré à côté avec son frère. N° 20

deux enfants : Jacques et Charles d’Orléans, enfants de Louis Philippe Albert, comte de Paris N° 20 (derrière le cénotaphe)

le duc d’Aumale. Fils de Louis-Philippe. Les bottes rappellent son passé militaire (conquête de l’Algérie),. L’épée qui est posée à ses côtés est sa véritable épée. Le coq son amour pour la littérature (écrivain, c’était un ami de Victor Hugo avec qui il correspondait). Lors de ses funérailles, Victor Hugo dit : « Pour moi, votre royauté a cessé d'être politique, et maintenant est historique. Ma République ne s'en inquiète pas. Vous faites partie de la grandeur de la France et je vous aime » Sa bibliothèque, dans le château de Chantilly, est magnifique. Le duc est mort quelques jours après avoir appris la mort de la duchesse d’Alençon, sa belle-fille, dans l’incendie du Bazar de la Charité. N° 14

 

Son épouse, Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, est à côté. N° 15. En face , les tombes sans gisants sont celles de leurs enfants. N° 16, 17,18 et 19

Nous parcourons maintenant le déambulatoire sud, à droite par rapport à la chapelle :

la Duchesse d’Alençon, Sophie-Charlotte-Auguste de Bavière (1847-1897), femme de Ferdinand d’Orléans (petit-fils de Louis-Philippe) qui mourut tragiquement dans l’incendie du Bazar de la Charité le 4 mai 1897. C’était la sœur de Sissi. Elle avait épousé un fils du duc d’Aumale. Elle était présente au Bazar de la Charité et voulut rester jusqu’au bout pour aider les autres femmes. Le feu avait pris suite à une manipulation des films des frères Lumière projetés à cette occasion. Sur 1200 personnes, 125 sont mortes. Pour évoquer cet événement, le sculpteur Walhain a évoqué les flammes de l’incendie sous forme de la palme et sous le sein des morceaux de bois. Elle était très pieuse, d’où cette tenue très stricte, resserrée à la taille ornée d’une croix. Ses origines bavaroises sont évoquées par les longues tresses. Ce gisant ne date que de 1912. Le gisant d’origine, sculpté par Barrias et installé en 1904 était jugé trop dramatique par la famille et a été remplacé par celui-ci, qui montre davantage de sérénité devant la mort. Le gisant de Barrias est exposé dans le musée d’art et d’histoire de Dreux. N°24

l'histoire des deux gisants de la duchesse d'Alençon :

vidéo : voir en fin d'article

Henri d’Orléans, fils du duc de Chartres (1867-1901), Explrateur, il a voyagé en Asie et en Éthiopie. Le voyage de Pars à Hanoï s’est fait en troïka, caravane, bateau sur le Mékong… Il a collecté des plantes, donné son nom à des animaux. Il est mort du paludisme à Saïgon. Le gisant le montre drapé dans un graphie et tordu de douleur. n°34

François d’Orléans, Prince de Joinville (1818-1900), fils de Louis-Philippe. Il participa à l’expédition du retour des cendres de Napoléon 1er depuis Sainte-Hélène en 1840. Joueur invétéré, on dit que pour payer une dette de jeu, il déposa sa montre en gage et dit qu’il l’avait oublié chez sa tante, Madame Adélaïde. Depuis, on appelle le Mont-de-Piété, « Chez ma tante ». N°26

Nous descendons dans la crypte. On peut y accéder également de l’extérieur mais le couloir qui relie cette entrée à la crypte est glissant et dangereux.

Il n’a plus de place dans le déambulatoire. C’est donc ici que les derniers membres de la famille d’Orléans ont été inhumés.

la crypte circulaire :

 

Les « vitraux » (ce ne sont pas de véritables vitraux mais des vitres peintes) datent de 1847 à 1851. En réalité ce sont des vitres peintes et cuites au four, ce qui donne cet aspect brillant et changeant. On a l’impression que les personnages bougent. À l’origine, les vitraux étaient éclairés par derrière aux bougies, maintenant ce sont des spots.

Le dernier tableau a été fait plus tard, après la Révolution de 1848, et pas avec cette technique, d’où cet aspect plus terne.

Il y a 25 gisants dont 12 dans la salle circulaire au centre : Henri VI. Il fait donation du domaine à la fondation Saint-Louis en 1976 ; Henri VII, son fils ; François (1935-1960), aurait dû hériter du titre mais il en a été écarté à cause de son handicap … Quelques tombeaux sont libres.

dans la petite crypte nord, au centre : Antoine Philippe d’Orléans, duc de Montpensier, frère puîné de Louis-Philippe. Il mourut en exil en Angleterre. Ce n’est pas un tombeau mais un cénotaphe.

Dans la crypte sud, au centre : Louis-Charles d’Orléans, Comte de Beaujolais, (1779-1809) frère du futur roi. Comme son père Philippe-Égalité, il aimait la boisson et avait des fréquentations qui ne plaisaient guère à son frère. . Il s’engagea dans la Navy et mourut au cours d’un voyage à Malte. Ce cénotaphe est une réplique du gisant romantique de La Valette (sculpté par Pradier). Le corps est resté à Malte.

Sous la crypte principale, il y un niveau inférieur, où reposent des reliques et des restes anciens, notamment ceux de Rouzet.

Il y a toujours des enterrements dans cette chapelle (les derniers : Henri d’Orléans VI, comte de Paris (1999), et son épouse Isabelle d’Orléans-Bragance (2003) , Henri d’Orléans VII (2019). L’actuel prétendant orléaniste est Jean, époux de Philomena, ils ont six enfants. Ils résident dans le domaine royal, dans la maison natale de François-André Danican Philidor . Mais suite à des différents avec la fondation Saint-Louis qui gère le domaine depuis la donation faite par Henri (VI) en 1976, la famille d’Orléans, qui ne payait pas le loyer, a déménager en 2023 près de Carcassonne. Conflit compliqué !

la maison de Philidor :

On fit aussi des baptêmes et des mariages.

Généalogie :

1 Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse (fils de Louis XIV et de Mme de Montespan) marié à Marie Victoire Sophie de Noailles

2 Leur fils, Louis Jean Marie de Bourbon marié à Marie Thérèse Félicité d’Este

3 la fille des précédents : Marie Adélaïde de Bourbon-Penthièvre (1753-1821), mariée à Louis Philippe d’Orléans, dit Philippe-Égalité (1747-1793)

les enfants de ceux-ci: Louis-Philippe , roi des Français

Antoine Philippe d’Orléans, duc de Montpensier (1775_1807)

Louise Marie Adélaïde (1777-1847)

Françoise d’Orléans (1777-1782)

Louis Charles d’Orléans (1779-1808), comte de Beaujolais

4 Louis-Philippe d’Orléans, roi des Français, marié à Marie Amélie de Bourbon-Siciles

5 leurs enfants ;

Ferdinand Philippe (1810-1842)

Louise Marie Thérèse (1812-1850)

Marie Christine d’Orléans (1812-1839), sculptrice

Louis Charles d’Orléans (1814-1896)

Françoise d’Orléans (1816-1818)

Clémentine marie Caroline (1817-1907)

François Ferdinand (1818-1900)

Charles Ferdinand (1820-1828)

Henri Eugène (1822-1897)

Antoine Marie (1824-1890), duc de Montpensier marié à Maria Luisa d’Espagne (voir le parc Maria Luisa à Séville)

quelques liens :

https://www.patrimoine-histoire.fr/P_Centre/Dreux/Dreux-Chapelle-Royale.htm#G_Ferdinand : CLIC

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_royale_de_Dreux

les mystères de Dreux : série de vidéos : CLIC

la ville de Dreux : beffroi, église, vieilles maisons, Victor Hugo, tour des enfants abandonnés etc... : CLIC

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