Nous repartons pour Pondichéry. 100 km, 2 heures de route.
Nous ne faisons qu'un arrêt pour regarder des gens qui sont dans l’eau. Ils ne se baignent pas, ils pêchent les crevettes.
Au bord de l’eau se trouvent des catamarans. Le mot provient du tamoul « kattuamaran » qui signifie « bois lié» ». En 1690, le pirate aventurier anglais William Dampier décrit ces bateaux : «Sur la côte de Coromandel, on les appelle catamarans. Il s’agit d’un ou deux rondins, parfois d’un bois léger (…) si petit, qu’il ne transporte qu’un homme dont les jambes et le fondement sont toujours dans l’eau. »
Les paludiers travaillent dans les marais salants. En ce moment, ils préparent le terrain. L’eau est pompée dans la nappe phréatique.