• Un tour dans le jardin

    Un tour dans le jardin

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    j'ai oublié de photographier les clématites, voici des photos de l'an dernier...

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  • De très belles statues d'époques hellénisrique et romaine

    Le musée archéologique d'Izmir

     

    Aphrodite :

    Le musée archéologique d'Izmir

     

    Cybèle :

     

    Le musée archéologique d'Izmir

     

    Asclépios

     

    Le musée archéologique d'Izmir

     

    Androclos, fondateur d'Éphèse

     

    Le musée archéologique d'Izmir

     

    Le musée archéologique d'Izmir

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    Aphrodite :

    Le musée archéologique d'Izmir

    Héraklès :

    Le musée archéologique d'Izmir

    Niké

    Le musée archéologique d'Izmir

    des mosaïques :

    Le musée archéologique d'Izmir

    Le musée archéologique d'Izmir

    Éros

    Le musée archéologique d'Izmir

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    Le musée archéologique d'Izmir

    Le musée archéologique d'Izmir

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    Le musée archéologique d'Izmir

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    Le musée archéologique d'Izmir

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    Le musée archéologique d'Izmir

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    Éros

    Le musée archéologique d'Izmir

    Le musée archéologique d'Izmir

    Le musée archéologique d'Izmir

    alabastron (pour mettre du parfum ou de l'huile de massage)

    Le musée archéologique d'Izmir

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    Le musée archéologique d'Izmir

    Déméter

    Le musée archéologique d'Izmir

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    à la sortie, un petit tour sur la jetée

    Le musée archéologique d'Izmir

     


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  • Tout d'abord, une vue sur le temple d'Artémis ou Artémision, il n'en reste que cette colonne 

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    la citadelle d'Ayasoluk et la basilique Saint-Jean :

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

     

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean : Un premier édifice a été construit sous Théodose vers 400 sur la tombe attribuée à Saint-Jean. Il n’en reste que le baptistère (photo arrangée : j'ai enlevé les pieds et les ombres des touristes et je n'ai laissé que le chat).

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    En mauvais état, la basilique a été remplacée par un édifice grandiose à 6 coupoles sous le règne de Justinien. 

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

     

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    chapiteau avec le monogramme de Théodora :

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    le skeuvophylakion qui contenait le trésor :

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

     

    tout près, la mosquée d'Isa Bey :

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)

     

    La basilique Saint-Jean d'Éphèse (Turquie)


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  • Taxi Téhéran
    Taxi Téhéran Bande-annonce VO

    la critique de Télérama :

    LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 15/04/2015

    On aime beaucoup

    Ce taxi-là roule sans permis. Ce taxi-là n'est pas un taxi. C'est un plateau de cinéma clandestin, un camouflage monté sur roues, le véhicule d'un insoumis. Combien d'interdits l'Iranien Jafar Panahi (Le Cercle, Le Ballon blanc) brave-t-il en prenant lui-même le volant ? En installant une petite caméra dans l'habitacle ? Depuis 2010, pour avoir osé contester la réélection frauduleuse du président Mahmoud Ahmadinejad, le cinéaste n'a pratiquement plus aucun droit : ni ­parler en public, ni quitter le pays. Et surtout pas exercer son métier.

    Et pourtant, il tourne. Taxi Téhéran (Ours d'or au dernier festival de Berlin) est sa troisième oeuvre « illégale ». Mais c'est aussi la première fois qu'il s'échappe au-dehors depuis sa condamnation. Le documentaire Ceci n'est pas un film (2011) et la fiction Pardé (2013) étaient restés « assignés à résidence », huis clos où bouillonnait sa réflexion d'artiste censuré, claquemuré. L'intérieur d'une voiture est certes exigu, et prolonge délibérément la même sensation carcérale. Mais c'est un enfermement différent. Dans les rues bruyantes et les rocades bétonnées de Téhéran, Jafar Panahi retrouve le monde, son monde. Le voilà donc reconverti en chauffeur de taxi, qui ouvre ses portières à toute la société iranienne. ­Polémiques, négociations, bavardages, témoignages, embrouilles et même crises de panique : la voiture vibre comme une formidable caisse de ­résonance politique.

    D'emblée — un débat houleux entre « clients » sur la peine de mort, appliquée massivement en Iran —, Panahi roule droit dans les sujets propres à ­hérisser la barbe des mollahs. Tout comme lorsque, quelques arrêts plus loin, il prend à son bord une avocate des droits de l'homme, et évoque avec elle le cas de Ghoncheh Ghavami, cette jeune femme arrêtée et incarcérée pour avoir voulu assister à un match de volley réservé aux hommes. Comme l'héroïne d'un autre film de Panahi,Hors jeu, qui, elle, se mêlait en douce à une bande de supporters de foot. Ce dispositif, façon agora itinérante, le ­cinéaste l'emprunte affectueusement à un autre film iranien : Ten (2002), d'Abbas Kiarostami, dont il fut l'assistant. Suites de saynètes saisies sur le vif à bord d'une voiture, les deux films sont pourtant radicalement différents. Là où Kiarostami interrogeait en priorité l'identité et les malaises de son pays, Panahi s'offre avant tout une virée introspective. Sous ses allures de savoureux conte persan — une sarabande de rencontres souvent drôles, parfois terribles ou poétiques, tel ce duo de vieilles dames superstitieuses et leur poisson rouge —, Taxi Téhéran est un autoportrait de l'artiste au volant.

    La forme même est à la fois ambiguë et révélatrice : fausses tranches de réalité volées en caméra cachée, vraies scènes de fiction. Une zone floue, à la lisière du documentaire, que le réalisateur aime occuper dans ses films : souvenez-vous de la fillette du Miroir, jeune actrice qui jouait l'actrice. Ici, beaucoup de passagers interprètent leur propre rôle. Mais, à travers chaque personnage, c'est sa propre place de cinéaste, de témoin et de ­créateur que questionne l'homme qui « conduit » le film. Quand il se retrouve complice malgré lui d'un vendeur de DVD à la sauvette, c'est pour mieux rendre hommage aux films interdits de Woody Allen ou Nuri Bilge Ceylan. Quand il offre un « frappuccino » à sa nièce adolescente, c'est pour l'observer se débattre — déjà — avec l'absurde censure imposée par la maîtresse, pour un film scolaire.

     

    Expérience de cinéma vivifiante, limpide, Taxi Téhéran frappe aussi par sa modestie : non pas celle qu'impose la partie de cache-cache avec les autorités, mais celle, pleine d'autodérision, que l'artiste s'impose à lui-même, qu'on le voie en butte aux débordements de ses passagers ou constamment égaré dans les méandres de la ville. Il est peut-être le pire taxi de ­Téhéran, mais le prix de la course est inestimable. — Cécile Mury


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  • un de mes chanteurs de blues préférés...


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