• album fait d'après un tuto de Manou scrap (qui a fermé sa boutique)

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Mon grand-père Lucien Noël

    Lucien Eugène Paul NOËL (1874-1961) est né le 14 septembre 1874 à Pierres (Eure-Et-Loir)i iiiiiiv, Il est décédé le 30 août 1962 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir), DREUX, à l'âge de 87 ans  

     

     Il est le fils d'Eugène Modeste Prudent NOËL (18481928), âgé de 26 ans, et de Marie Pauline Adelphine DUTEILLEUL (18521923), âgée de 22 ans.

     

     Profession : Charcutier à Laigle 27 rue St Jean (1903 et 1904) - Il z remplacé Clain et sera remplacé par Lemoine en 1905

     

     Meunier - Cantonnier vicinal - Ouvrier Sellier, Ouvrier de fonderie (1907)
    Il sait signer.
    Service militaire : en 1894 à Baccarat (Meurthe-Et-Moselle).

     

     Il se marie avec Zoé Désirée Constance DUTEILLEUL (18741953), sa cousine germaine,couturière, nourrice, fille d'Armand Honoré Alfred DUTEILLEUL (18491896) et de Rose Eugénie Alphonsine LÉCURIER (18501930) le 17 avril 1902 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir). Ils ont tous deux 27 ans.

     

     

     

      Lucien Eugène Paul et Zoé Désirée Constance ont eu 5 enfants :

     

     Pierre NOËL, né le 29 juillet 1903 à L'Aigle (Orne), décédé le 24 mars 1990 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir), à l'âge de 86 ans. Il s'unit avec Laurence HABERT le 28 juin 1936. Il n'a pas de descendance.

     

       NOËL, née le 27 septembre 1905 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir), décédée le même jour dans la même localité,  

     

      Paul Lucien NOËL, né le 11 juillet 1906 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir), décédé le même jour dans la même localité,   

     

      Georges Désiré Lucien NOËL, né le 25 juin 1907 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir), décédé le 20 décembre 1929 dans la même localité, à l'âge de 22 ans. Il n'a pas de descendance.

     

      Paul Marcel Simon NOËL, né le 5 février 1911 à Villiers-Le-Morhier (Eure-Et-Loir), décédé le 22 mars 1997 dans la même localité, à l'âge de 86 ans. Il s'unit avec Marthe Thérèze Emilienne GODEMERT le 20 juin 1938. Il a 3 enfants : Monique Désirée Paulette, Jean-Paul et Didier.

     

       Vente de la commune de Villiers à Lucien Noël 30 avril 1903
    Acquisition par Lucien Noël charcutier habitant 27 rue St Jean à Laigle d'une portion du sentier communal dit de la Garenne comprise entre la propriété et les dépendances du presbytère sur une longueur de 28 mètres et une largeur de 1,30 m soit une superficie de 36,40 m²
    l'acheteur prend le terrain dans l'état où se trouve
    il supportera l'égout du mur de clôture du presbytère longeant la parcelle mais non celui des bâtiments dont les eaux seront rejetées hors de la dite parcelle sur la propriété communale
    il pourra au moyen d'un scellement dans le mur du presbytère établir une barrière pour clore la propriété sur la rue de la mairie, sans que cette concession lui donne aucun droit à la propriété du petit triangle compris entre le pan coupé du dit mur et l'alignement du sentier pas plus qu'à la mitoyenneté du dit mur
    Cette vente est faite moyennant le prix de 200 F que M Noël paiera à la caisse du receveur municipal dans le délai de deux mois à compter de ce jour
    il paiera aussi les frais de timbre, d'enregistrement

     

    27/3/1939, Nogent-le-roi, étude de Me Lemaire : 
    Lucia Louise Désirée NOËL veuve Picart vend à son frère Lucien sa part d'un terrain de 17 ares 24 centiares de bois taillis champtier de la marnière aux Hérons tenant d'un côté Allain, d'autre côté Germond, d'un bout Lucien Noël et d'autre bout le chemin de Gallardon
    cadastre section C n° 568

    ce terrain appartient à Mme Picart et à Monsieur Noël chacun pour moitié de la succession de leur mère Marie Adelphine Duteilleul

    payé 50 francs

     

        Enquête sur les besoins en charbon (sans doute en 1940)
    Lucien Noël répond :
    employez-vous du charbon pour la cuisine oui
    en dehors du bois combien consommez-vous de charbon par mois ? 50 kg de charbon ordinaire
    quels seraient vos besoins mensuels pour le chauffage à partir du 1 novembre prochain ? Toujours en dehors du bois 50 kg
    Son fils Pierre répond qu'il consomme 20 kg de charbon ordinaire

     

     

     

     


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  • Quand ma grand-mère Désirée Duteilleul (et sans doute avant elle sa mère Alphonsine Lécurier) allait à la messe, elle emportait avec elle cette petite chaufferette percée de trous dans laquelle elle mettait des braises. Elle posait ses pieds sur la chaufferette et comme elle portait des vêtements longs, la chaleur montait le long des jambes et réchauffait tout le corps.

    Se chauffer autrefois

     

    Pour chauffer le lit, on utilisait des bassinoires en cuivre qu’on remplissait de braises et qu’on passait entre les draps.Quand j’étais petite, l’unique cuisinière à bois et à charbon, qui se trouvait dans la cuisine était éteinte. Le matin, on se réveillait avec des fleurs de givre sur les vitres mais pour ne pas avoir froid dans le lit, on mettait une brique chaude enveloppée dans du papier journal ou des chiffons. Ma grand-mère avait une brique plus jolie, en terre réfractaire vernissée (dessus il est écrit « chauffeuse ». Les deux trous permettaient de la saisir avec une pince.

    Se chauffer autrefois

     

    J’ai toujours eu froid aux pieds (encore maintenant!) et quand j’arrivais de l’école, je fourrais mes pieds dans le bas de la cuisinière. Engelures garanties qu’on soignait avec du baume camphré.

     

     


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  • Un vieux livre, hélas en mauvais état, trouvé dans le grenier de mon oncle.

    C'est l'almanach de la coopération 1870, dernière année de sa parution, en raison des troubles de cette année terrible. L'almanach est paru en 1867, 1868, 1869 et 1870.

    Il a appartenu à Victor Adrien Genty, tailleur dans la rue du Mont-Cenis.

    L'almanach de la coopération 1870, trouvé dans le grenier

    voici quelques textes : des poésies de Pierre Lachambeaudie, (1806-1872) chansonnier, saint-simonnien,, sous forme de fables et un texte de Charles Limousin (1840-1909), journaliste fouriériste, france-maçon.

     

    L'almanach de la coopération 1870, trouvé dans le grenier

    la réforme de l'orthographe, on en parlait déjà...

    L'almanach de la coopération 1870, trouvé dans le grenier

    L'almanach de la coopération 1870, trouvé dans le grenier

    dans cet almanach, d'autres textes, de Proudhon et de André Léo (de son vrai nom Victoire Léodile Béra)militante communarde et féministe, amie de Louise michel.


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  • Ce poilu était le père de maman. Je ne l'ai pas connu car il est mort quand maman avait 4 ans.

    Il est né le 29 janvier 1888, de père inconnu,

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    il est reconnu par sa mère Anastasie Godemert 6 mois plus tard

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Puis il est abandonné par sa mère qui quitte le village avec sa première fille Amélie Anastasie (1882/1962)

    Sur la photo, Amélie Anastasie, âgée, avec son mari et sa fille

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Il fut ensuite élevé par ses grands-parents puis ses oncle et tante jusqu'à l'âge de 8 ans. Il est placé à "la maison bleue" de Chartres, puis chez des paysans en Beauce, il devient charretier et cantonnier. Il fait son service militaire en 1909. Le registre matricule dit qu'il mesure 1,60 m, qu'il a les yeux gris, qu'il ne sait pas monter à cheval, mais qu'il sait conduire une voiture à cheval et monter à vélo.

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    à partir du 26/03/1911, il est charretier chez M.Péchaud à Fruncé.

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Il se marie en 1912 avec Anna Marie Joseph Burgot, une Bretonne qui avait quitté sa famille près de Rennes, à l'âge de 12 ans. Mobilisé en 14, il meurt d'une péritonite en 1920 après avoir eu 4 enfants, nés en 1914 (Marcel), 1916 (Marthe, maman), 1918 (Robert), 1920 (André).

    Marcel , Marthe (à droite), à gauche, c'est Nénette, une enfant en nourrice.

     

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    fiche matricule : n° 7

    Service militaire en 1909, 6 è régiment de hussards. Mobilisé au 4 è escadron du train puis 26 è rég. d'artillerie l 2/11/1915. Classé conducteur. Parti aux armées le 21/01/1916. Passe au 22 è rég d'artillerie coloniale le 01/04/1917. Mis en congé illimité de démobilisation le 31/03/1919.

    Evacué malade (gastro-entérite) sur l'ambulance le 05/03/1917, sorti le 15/04 et rentré au armées le 15/04.

    Campagnes : intérieur : du 03/08/1914 au 20/02/1916

    aux armées : du 21/02/1916 au 04/03/1917

    intérieur : du 5/03/1917 au 14/04/1917

    aux armées : du 15/4/1917 au 30/3/1919

    citations :

    "croix de guerre, étoile de bronze. A toujours été pour ses camarades un  modèle de discipline, de courage et de sang-froid. S'est toujours fait remarquer par son sang-froid au cours des diverses opérations auxquelles le régiment dans la région des Eparges a pris part. "

    Désiré Godemert, grand-père poilu

    Désiré Godemert, grand-père poilu

     

    Il est rentré le 30/3/1919, gazé.

    Après sa mort, le 9 juin 1920, sa femme se remania à Fruncé en 1922 avec Jules Mauget, chauffeur dans les mines de charbon. Ils allèrent vivre 6 mois dans le Nord chez la belle-sœur de Jules Mauget, dans la région de Sainte-Menehould. Jules Mauget ne trouva pas de travail à la mine. Ils revinrent à Maintenon et eurent 5 enfants : Hélène, René, Roger, Ginette, Michel.

    Désiré Godemert, grand-père poilu

     Désiré Godemert, grand-père poilu


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  • Je trie des photographies anciennes trouvées dans le grenier de mon oncle. La plupart du temps, j'ignore qui sont les personnages représentés.

    Comme cette femme. Je pense que la photo date d'avant 1864 puisque elle a été faite par les frères Bisson 8 rue Garancière à Paris. Ils ont cédé leur maison à Émile Placet en 1864.

    La photo est sur une carte fine, le nom du photographe est écrit simplement, ce qui prouve qu'elle est ancienne (les suivantes ont été faites sur un carton fait de plusieurs cartes collées, agrémentées d'un filet doré et le nom du photographe au dos était très décoré).

    Alors, qui connaît cette femme ? Sans doute quelqu'un de la famille de Victor Adrien Genty, tailleur 113 rue du Mont Cenis Denis, né en 1839 à Granville-Gaudreville (28). Il a habité  113 rue du Mont Cenis.

    photographie ancienne des frères Bisson

    photographie ancienne des frères Bisson

     

     


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