• pour en terminer avec notre circuit en Roumanie et bibliographie

    La Roumanie a une superficie de 238 000 km² et compte 19 millions d’habitants ainsi que 9 millions qui vivent à l’étranger.

     

    La langue roumaine est composée à 60 % de latin, 40 % de russe et de quelques mots de turc et de dace.

     

    Le pays est parcouru par le Danube (il fait le tiers de son trajet en Roumanie). Il y a 40 % de terres agricoles.

     

     

     

    En 1989, après la Révolution, on passe du communisme à un régime démocratique modéré avec Ion Ilescu

     

    Certains roumains s’enrichissent, on les appelle les « barons locaux » (les anciens de la Securitate)

     

    loi 18 : on devait justifier ses biens (cela a été une des premières lois abolies), les gens faisaient ce qu’ils voulaient

     

    Les entreprises ont été privatisées, les gens ont reçu des actions, la plupart des sociétés ont été vendues à des prix dérisoires. Licenciement du personnel

     

    À la fin des années 90, il fallait attendre longtemps pour récupérer ses propriétés (maisons, vignes, forêts), les gens préféraient vendre leurs titres de propriétés plutôt que d’attendre.

     

    Les personnes âgées ont été lésées à cette époque.

     

    Les gitans ont été soit réduits à la plus grande pauvreté, soit ont acquis d’immenses fortunes.

     

    La corruption était partout. Après 2008, un organisme a été créé pour lutter contre la grande corruption.

     

    Après la Révolution, on a gardé les mœurs de l’époque communiste (manière de travailler des fonctionnaires). Sous le communisme, les gens étaient assistés (bas loyers, transports en commun) et en même temps, il y avait d’énormes pénuries. L’essence était rationnée à 20 litres par mois. Il y avait des queues de 3 à 4 km avant les stations service. Les gens poussaient parfois leur voiture jusqu’à la pompe à essence. Il y avait aussi des jours de circulation : pairs/impairs. Ils prenaient le tramway.

     

    Les gens avaient toujours sur eux un sac en plastique et s’arrêtaient quand il y avait une queue. « Qu’est-ce qu’on donne ici ? »

     

    Les salaires n’étaient pas mauvais mais il n’y avait rien à acheter. Le salaire était le même partout et l’emploi était assuré.

     

    Certains regrettent l’époque communiste, oubliant qu’il n’y avait pas de liberté.

     

    Le bon côté du communisme, par exemple au niveau de l’enseignement, n’a pas été poursuivi.

     

    À l’époque du communisme, les gens aimaient les langues étrangères, lire…

     

    Sur les portes des appartements, il était écrit « Famille ingénieur », « Famille médecin »

     

    Maintenant tout est devenu impersonnel et l’autorité est mise en discussion.

     

    Actuellement, les professeurs ont de bas salaires. Au moment de notre voyage, ils ont fait grève pendant trois semaines.

     

    La majorité du budget est consacré à la nourriture. Les impôts sont retenus à la source. En général les grands-parents élèvent les petits-enfants. Peu de personnes âgées vont en maison de retraite.

     

    À lire :

    Bibliographie

     

     

     

    Les chardons du Baragan (Ismail Israti)

     

    si je dois te trahir (Ruta Sepetys)

     

    Eugenia (Lionel Duroy)

     

    De ça je me console ( Lola Lafon)

     

    un brillant avenir (Catherine Cusset)

     

    les exportés (Sonia Devillers)

     

    la petite communiste qui ne souriait jamais (Lola Lafon)

     

    Dracula (Bram Stoker)

    livres lus quand j'étais ado :

     

    La 25 è heure Constant Virgil Gheorghiu

     

    le meurtre de Kyralessa Constant Virgil Gheorghiu

     

    la maison de petrodava Constant Virgil Gheorghiu

     

    la seconde chance Constant Virgil Gheorghiu

     

     

     

     

     

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :