-
Rongjiang (Guizhou)
Après avoir quitté Biasha, nous prenons l’autoroute : 1 heure pour parcourir 100 km sans être secoué, c’est agréable. Bonheur de courte durée, c’est à nouveau la piste, les cahots et la poussière. En arrivant à Rogjiang, le car passe dans une grande mare pour laver les pneus avant d’entrer dans la ville.
Le nom de Rongjiang signifie « fleuve des banians », arbre sacré. Le lendemain matin, nous faisons un tour de marché : on y end des aliments déjà cuits : pattes de poulet, langues et queues, groins et queues de cochon, canards laqués, poisson, œufs de 100 ans (conservés dans un mélange de cendre, de chaux, de feuilles de thé, de riz non décortiqué. Le jaune devient vert foncé et le blanc presque noir et translucide). On y vend aussi des poissons vivants, des oies et des poules. Les marchands préparaient des animaux morts à même le sol, je ne sais pas ce que c’était. Les blocs gris, c’est de la racine de taro réduite en poudre, mélangée à de l’eau, cuite et moulée.
Les photos sont de très mauvaise qualité, j'avais mal réglé mon appareil !
-
Commentaires
bonjour je te souhaite un très bon samedi ici ciel bleu soleil, mais grosse chute de la température, +16 et +7 la nuit. amitiés renéLes normes sanitaires ne sont pas les mêmes partout LOL
Les chinois sont friands de queues, pattes et groins de cochons, mais ils commencent à préférer les longes aussi, le pouvoir d'achat augmentant, du coup, ces bas marceaux nous restent sur les bras, chez nous en Europe !!!
Bonne soirée
Bizouilles Dom
comme on dit dans le cochon tout est bon.....
je n'aurais pas pu manger... merci pour le partage des photos
bises nadette
Beurk pas trop appétissant ! vous avez gouté quelques uns de ces aliments ? les broderies des vêtements sont tjrs superbes bisous bisous
Ajouter un commentaire
Tout ne me sembla pas très appétissant ! par contre la broderie de la femme ! superbe !