• une boîte à mouchoirs pour Marylène. Je me suis servie de la marche à suivre sur le site www.atelier-de-kitty.com/Boite-a-mouchoirs.html

    . Merci à Kitty et Karine qui ont préparé cette fiche, elle m'a été très utile, surtout pour les dimensions. J'ai interprété la fiche en recouvrant de papier genre "crocodile", car je n'ai jamais utilisé le tissu. Je n'ai pas mis de bouton mais un ruban qui pend avec une perle, j'espère que le poids sera suffisant pour maintenir la boîte fermée.

    Quand les 4 côtés et le fond ont été assemblés, j'ai recouvert l'extérieur de cartonnette "rigidex", cela a l'avantage d'aplanir l'extérieur car je fais toujours des bosses au niveau des jointures !

    La prochaine fois j'essaierai avec les boîtes à mouchoirs "cube", j'essaierai le tissu et le bouton ! je ferai l'ouverture plus petite que l'ouverture de la boîte de mouchoirs afin qu'on ne voie pas l'entourage noir de l'ovale qui est assez disgracieux.

    Et voilà !


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  • j'ai acheté le calendrier 2007 de "Fil en aiguille", il est illustré de photos de broderies au point compté et il y a les grilles pour faire les broderies. Je me suis dépêchée de broder "février" et je viens de terminer l'encadrement de "2007" (broderie "Lilipoints"). J'ai recouvert le cadre de papier et avec mon mari, nous avons brodé les lettres séparément (il a brodé 07 et moi 20) J'ai découpé puis collé les lettres. A la fin de l'année je broderai un 8 pour remplacer le 7.

     


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  • Une visite très intéressante ! ce musée qui se trouve boulevard Hausmann, pas loin du parc Monceau, renferme des collections d'une richesse exceptionnelle, acquises par les époux André et Jacquemart et conservées dans leur hôtel particulier.

    Edouard André est fils de banquiers mais il se destine à la carrière militaire qu'il abandonne assez rapidement. Il achète beaucoup d'œuvres du XVIII è siècle et, proche de l'Empereur Napoléon III, mène une vie mondaine. Par exemple en 1876 il donne un grand bal costumé de 2000 invités. Dans la cour de l'hôtel, il y a un sens pour la montée des carrosses et un sens pour la descente. Il se marie en 1881 (mariage de raison) avec Nélie Jacquemart, artiste peintre, ambitieuse de petite naissance. Elle, ce qu'elle aime c'est le quattrocento italien et achète des œuvres de cette époque. Après la mort de son mari, elle voyage beaucoup et achète l'abbaye de Chaalis.

    L'intérieur de l'hôtel est fastueux : des salons immenses qui pouvaient être réunis en enlevant les cloisons (vérins hydrauliques), les murs sont couverts de tapisseries, de tableaux de maîtres, de fresques. Dans le jardin d'hiver, un escalier elliptique, à double révolution, mène à l'étage où il y a une magnifique fresque de Tiepolo : "Henri III à Venise", avec plein de détails ravissants : un Africain qui semble sortir de la toile et venir vers nous, des pieds qui sortent du tableau, des personnages qui semblent rentrer dans les coulisses. La fresque a été marouflée sur toile pour le transport. Je ne comprends pas bien comment on peut transporter une fresque : qui pourrait m'expliquer ?

    Parmi les œuvres de cet hôtel : un buste par Coysevox, des peintures de François Boucher, de Nattier (une jeune fille ravissante avec une guirlande de fleurs), de Canaletto (Venise), de Fragonard (une peinture un peu coquine : le peintre soulève le bas de la jupe de la jeune modèle qui semble effarouchée), des Chardin (dont "la nature morte à la côtelette), un buste représentant la révolutionnaire Théroigne de Méricourt, un tableau de Mme Vigée-Lebrun, des tableaux des Hollandais (Rembrandt, Van Dyck, Frans Hals, un paysage de Ruysdaël. Et puis des meubles en marqueterie : bois de palissandre, de violette, d'amarante... Et des sculptures et des tableaux du Quattrocento : Botticelli, un mangnifique Mantegna, dommage on ne pouvait pas bien le voir à cause des reflets du verre,

    Ils achetaient ces œuvres aux enchères.

    Pas le droit de prendre de photos à l'intérieur, mais voici un gentil lion de la cour

     

    le musée Jacquemart-André


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  • La carte pour l'anniversaire de Marie est prête. J'ai acheté récemment du papier alvéolé pour faire la fleur.


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  • Une journée à Paris.

    Nous sommes partis à 7 h 05, ce qui est le cas des nombreuses personnes qui vont travailler à Paris (et qui partent souvent avant !), nous sommes allés au Service historique de la Défense au château de Vincennes pour faire établir une carte de lecteur, relever des cotes de documents pour trouver des renseignements sur le capitaine Lelièvre et sur mes ancêtres soldats de Napoléon. Malheureusement, nous n'avons pas pu consulter les documents ni prendre rendez-vous. Aucune place libre pour cette quinzaine. Il faudra téléphoner plus tard ! La salle de lecture n'est accessible qu'à 50 lecteurs par jour et pour 3 documents. Les locaux sont trop vétustes mais la situation devrait s'améliorer !

    Ensuite petite promenade place de la Nation puis à Charonne. C'était un village qui a été rattaché à Paris en 1860 pour former avec Belleville le XXè arrondissement. Le quartier a gardé son aspect de village avec ses petites ruelles, petits magasins aux devantures désuètes, cours intérieures fleuries, église St Germain de Charonne et cimetière accolé (c'est rare de trouver un cimetière juste à côté de l'église). Une statue représente M. Bègue, dit le Père Magloire. Il prétendait avoir été le secrétaire de Robespierre mais personne ne le croyait car c'était un bon buveur. Il paraît qu'il a été enterré avec une bouteille de vin. Ses amis firent la fête autour de sa tombe et lui offrirent cette statue achetée à un brocanteur (c'est ce que j'ai lu dans le "routard").

     Le long d'un mur se trouvent les restes des Fédérés tués pendant les combats sous la Commune (le cimetière du Père-Lachaise n'est pas loin). Et puis Charonne, ça évoque un autre moment douloureux, celui où en février 1962, il y eut 9 morts dans le métro lors d'une manif pour la paix en Algérie.

    Mauvaise surprise en arrivant gare de Lyon, perturbations sur le RER dues à un accident mortel sur la voie. Nous avons pris un train pour Corbeil, puis un autre pour La Ferté-Alais où on est venu nous chercher en voiture : 2 heures et demie de trajet. J'ai trouvé les habitués très flegmatiques et très patients : dur, dur après une journée de travail de devoir attendre pour rentrer à la maison, préparer le repas et penser à repartir le lendemain !


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