• Scriptoclip :

    chaque joueur a la même phrase au départ. Ensuite chacun part sur une histoire et toutes les trente secondes, chaque joueur donne un mot que tout le monde doit insérer dans son texte. Comme nous n'étions que trois, nous avons fait deux tours.

    Le père Noël entra dans la cheminée. Petit problème, son gros ventre ne passait pas dans le trou de la cheminée du petit Grégory. Il se dit alors qu’il n’aurait pas dû manger tous ces chocolats lors de sa tournée en Asie. Il réussit tant bien que mal à atterrir dans le foyer. En bas, une énorme pile de cadeaux patientait bien sagement sous le sapin. Le père Noël surpris, comprit que les parents de Grégory ne croyaient pas au père Noël. Une idée traversa alors son esprit. Il fonça vers la cuisine et remplaça grille pain, cafetière et four par des objets qu’il avait inventés lui- même. Pour préserver son pauvre ventre, il passa par la porte.

     

    Le lendemain, alors que Grégory ouvrait ses cadeaux avec joie, les parents eurent une mauvaise surprise : leur café avait un horrible goût de sucre d’orge, leurs toasts étaient anormalement durs et lorsqu’ils ouvraient le four une énorme montagne de neige en tombait. D’après Grégory, c’était la magie de Noël.

     

    Le texte de Max :

     

    Le Père Noël entra dans la cheminée. Il fut pris au piège dans un filet de pêche. Il avait été mis par les enfants qui mangeaient du chocolat pour passer le temps en attendant l’arrivée du Père Noël.

     

    Le Père Noël leur dit : « Arrêtez, j’apporte des cadeaux, j’ai encore du boulot. » Les enfants le mirent dans le four pendant trente secondes, quand ils le ressortirent, il était tout noir et on voyait son ventre parce qu’il y avait un trou dans son costume.

     

    Le Père Noël dit : « Eh ! Oh ! Ça va, hein ! ». Près de l’escalier, il aperçut les parents d’un des enfants et tout plein de parents sortirent de nulle part et crièrent en chœur : « On l’a eu ! On l’a eu ! »

     

     

     


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  • Mardi 15 octobre

     

    Nous quittons Yazd et, à la sortie de la ville, un long arrêt de contrôle nous immobilise.

     

    Nous voilà partis pour longue journée dans le désert, jusqu’à Ispahan. Rien que du désert et quelques arbustes rabougris pendant 320 km.

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

     

    Nous premier arrêt est dans l’ancien caravansérail de Now-Gonbad, d’époque seldjoudkide, loin de toute ville et de toute végétation, entre Meybod et Naïn, près de la ville d’Ardakan. Nous sommes sur la route qui va du golfe persique à la mer rouge. Au 19 è siècle, un historien allemand, Ferdinand von Richthofen, nommera cette route « la route de la soie ». En réalité, il y a plusieurs routes de la soie, terrestres et maritimes. On devrait dire plutôt «route des épices », bien plus importante que la « route de la soie ».

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail vu de l'autre côté :

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    Un caravansérail est toujours entouré de murailles. Ici, à Now-Gonbad, il y a un caravansérail assez bien conservé et à côté un autre, ruiné.

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

     

    « Caravansérail » vient de kârwân-sarây (kârwân = caravane, sarây = maison)

     

    999 caravansérails ont été construits le long de cette route. Ils étaient séparés de 30 km : c’était la distance qui pouvait être parcourue en une journée de marche pour un dromadaire chargé de 400 kg de marchandises réparties de chaque côté de l’animal. Le dromadaire peut marcher dans le désert sans boire ni manger pendant plusieurs jours.

     

    Les mulets pouvaient parcourir 50 km mais ne pouvaient porter que 150 kg. Ils étaient utilisés sur des sentiers abrupts.

     

    Les caravanes étaient très importantes, un historien du XII è siècle parle de caravanes de 200 000 personnes. Ai-je bien noté ce qu'a dit Hamed : le nombre semble important ...

     

    Les caravaniers n’avaient pas le droit d’entrer dans les villes sauf s’ils passaient par la quarantaine avant d’entrer. Ils n’étaient pas forcément les bienvenus dans les villes car ils pouvaient causer des désordres.

     

    Les caravaniers transportaient des épices, de la soie, des plantes médicinales. Parmi eux, outre les marchands, il y avait des scientifiques, des médecins, des chercheurs, des pèlerins, des personnes qui nourrissaient le bétail et les hommes.

     

    Les caravansérails les plus importants se situaient près des grandes villes. Des messagers à cheval allaient prévenir les habitants de la ville qu’une caravane arrivait. Les scribes officialisaient les contrats. Les gens pouvaient passer commande de marchandises qui leur seraient livrées au passage de la caravane suivante. C’était donc très long pour recevoir sa commande ! La soie provenait de Kashan et de la mer Caspienne,

     

    Les voleurs connaissaient bien la région où passait la caravane. Les mercenaires embauchés par les marchands ne pouvaient pas grand-chose contre les bandits. Les personnes âgées de la caravane faisaient l’intermédiaire avec les groupes de bandits pour négocier un droit de péage. C’était une sorte de mafia.

     

    Dans ce caravansérail, les gens se reposaient dans les niches extérieures ; en hiver, ils se protégeaient du froid en installant des rideaux devant les niches. Les chameaux étaient installés à l’intérieur.

    la cour intérieure avec les logements des hommes :

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    un escalier pour accéder à l'étage. Je ne l'emprunte pas :

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

     

    À proximité des caravansérails, il y avait des réseaux de qânats pour distribuer l’eau. Celui-ci est rempli de poissons.

     

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    à l'intérieur : les logements pour les animaux :

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

    une autre construction, je ne sais pas ce que c'est :

    le caravansérail de New-Gonbad en Iran

     


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  •  

    La visite du musée de l'eau était très intéressante mais mes notes ne sont pas très claires et mes photos floues..

    Le musée se trouve près de la grande place, dans une ancienne maison qadjar (Kalah Dazha). En 2000, le bâtiment était dans un état lamentable, il a été restauré et a actuellement un bel aspect.

    Musée de l’eau à Yazd

    Musée de l’eau à Yazd

    Musée de l’eau à Yazd

     

    Pour descendre dans le musée, il faut emprunter un escalier étroit (ceci, afin de minimiser l’espace) et aux marches très hautes. C’est sans doute en remontant que j’ai forcé et déclenché une tendinite.

     

    Les musulmans se servaient de cruches en terre crue et les zoroastriens utilisaient des cruches en cuir.

    Musée de l’eau à Yazd

    Musée de l’eau à Yazd

    Musée de l’eau à Yazd

    Musée de l’eau à Yazd

     

    Les gens n’avaient pas accès au bassin d’eau. Ils puisaient l’eau aux robinets fixés sur un mur.

     

    L’eau a une importance capitale à Yazd car elle est rare. « Ce ne sont que des lèvres assoiffées qui reconnaissent la vraie valeur de l’eau ». Les filles préféraient avoir la dot en terrains contenant de l’eau plutôt que des pièces d’or.

     

    Il fallait trouver l’eau dans la montagne, on la cherchait avec des objets simples. On faisait ensuite un puits puis on creusait un qânat. Plus on s’approchait de la ville, plus la hauteur de l’eau diminuait.

     

    En ville, l’eau était emmagasinée dans des citernes.

     

    Les puisatiers étaient habillés de blanc pour se repérer entre eux. S’ils mouraient dans le sous-sol (asphyxie), leur vêtement servait de linceul.

     

    Musée de l’eau à Yazd

     

    Une horloge à eau servait à redistribuer l’eau aux paysans proportionnellement à la superficie de leurs terres. Une fois que le gobelet était rempli, le contrôleur faisait une croix.

     

    Musée de l’eau à Yazd

    Musée de l’eau à Yazd

     

    On profitait du courant d’eau pour moudre le grain.

     

    Musée de l’eau à Yazd

    des documents anciens :

    Musée de l’eau à Yazd

     

     

     

    Les eaux qui viennent de la montagne sont partagées entre Yazd et Ispahan. Ispahan manque d’eau.

     

    La situation est actuellement très préoccupante en Iran. Le manque d’eau dû aux problèmes climatiques est aggravé sous le poids de la surconsommation, aussi bien individuelle que collective. La population iranienne a doublé en 40 ans : 37 millions en 1979 et 83 millions en 2016.La consommation était, en 2016, de 250 l par personne et par jour, voir 400 litres à Téhéran. Des émissions à la télé expliquent aux gens comment réduire leur consommation.

     


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  • La rue conduisant à la mosquée est décorée de fanions verts pour la fête de l’imam Hussein.

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    La mosquée du vendredi a été construite aux XIV è et XVI è siècles à la place d’une mosquée du XII è siècle, elle-même édifiée à l’emplacement d’un temple du feu.

     

    Le pishtaq est entouré de deux minarets de 50 m de hauteur ajoutés au XVI è siècle. Le minaret de droite comporte deux escaliers en colimaçon conçus de telle sorte qu’une personne qui monte et une qui descend ne se rencontrent pas.

     

    Au-dessus de la porte, une inscription dit que la mosquée a été construite sous le règne du gouverneur de Yazd, Chahrakh Mirza le plus jeune des quatre fils de Timur le Boiteux (Tamerlan).

    le pishtaq vu de loin, de près et d'encore plus près (petit clin d'œil à mon frère Didier qui saura pourquoi je dis cela)

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    Une corde pend de la coupole du pishtaq décoré de muquarnas. Il y a plusieurs explications : la corde est symbole de justice, elle pouvait également empêcher que les chevaux n’entrent dans la mosquée. En outre, les personnes poursuivies qui touchaient la corde étaient sauvées. Cette tradition a été abandonnée au XV è siècle sous Abdel Kabir.

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    La mosquée est en fait composée de trois mosquées.

     

    Le motif le plus fréquent est le chamseh (soleil). Les hexagones représentent les alvéoles des ruches. Le Coran parle plusieurs fois des abeilles. Les thèmes floraux évoquent le Paradis.

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    La prière chez les chiites : on se prosterne sur un objet pur, par exemple un caillou, orienté vers la Mecque. On met les mains le long du corps (les Sunnites ont les bras croisés) et on se prosterne en récitant des formules du Coran. Avant la prière, on fait les ablutions.

    La mosquée du vendredi de Yazd

    dehors, des cailloux sont à la disposition des fidèles.

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    Les femmes peuvent entrer dans la salle de prière sauf en période de règles.

     

    Les Musulmans prient 5 fois par jour : matin, midi, après-midi, coucher du soleil, nuit. Chez les chiites la prière du midi et celle de l’après-midi se font ensemble.

    le dôme :

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    Il y a deux portes de chaque côté du mihrab.

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

    Cette mosquée a été surnommée la mosquée du temps et de l’heure car l’un des minarets comportait un mécanisme d’horloge : à chaque heure du jour, une perle tombait du bec d’un oiseau de bronze dans une coupe. À chaque heure de la nuit, une lame sortait du mur. Le jour, un oiseau de bronze pivotait pour suivre le parcours du soleil et un drapeau apparaissait aux heures de la prière. (lu sur ce blog : clic ! )

    À propos des petits cailloux pour la prière, dans notre chambre à Téhéran, il y avait un tapis de prière, un Coran et à un caillou. Et au plafond, une flèche indiquait la direction de la Mecque.

    La mosquée du vendredi de Yazd

    La mosquée du vendredi de Yazd

     

     


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  • Lundi 14 octobre

    Nous sommes à Yazd, la ville des Zoroastriens. « La noble cité de Yazd dresse ses murs au milieu d’un océan de sable » (Marco Polo. Yazd est une des plus anciennes villes, après Ur en Mésopotamie. C’est une ancienne ville caravanière, sur la route de la soie. Actuellement, Yazd compte 0,5 million d’habitants pour une superficie égale à celle de Paris.

     

    Les habitants de Yazd sont réputés pour leur diplomatie, leur ambiance bon enfant. Dans cette ville, les musulmans, juifs, arméniens, zoroastriens cohabitent bien.

    Nous passons devant les tours du silence de Yazd.

    Le temple du feu à Yazd

     

     

    La première visite est pour le temple du feu (Ateshkadé).

    La religion a été fondée par le prophète Zoroastre (Zarathoustra) née en 1767 av JC :

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

    Le dieu dominant est Ahura Mazda. Il y a également Anahita, déesse des eaux et des cultures et son fils Mithra.

     

    Le principe zoroastrien est qu’il y a en chaque être doué d’une âme, un esprit saint et un esprit mauvais (Angra Mainyu). Il faut donc se soumettre devant le feu comme symbole divin et respecter la Nature.

     

    Selon Zoroastre, le pire péché de l'Homme est le mensonge.

     

    La doctrine des Zoroastriens est basée sur trois principes fondamentaux  : « Bonne pensée, bonne parole, bonne action ». Les 7 piliers du zoroastrisme sont : prier un dieu unique (Ahura Mazda) si possible 5 fois par jour, faire le bien autour de soi, vénérer le feu, lutter contre l’ oppression, respecter toutes formes de vie, rejeter l’idolâtrie, cultiver la joie de vivre (faire la fête au moins une fois par mois et rire autant que possible).

    la prière :

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

     

    Un petit musée à côté du temple nous permet d’en apprendre davantage sur cette religion et complète ce que nous avons vu hier dans la tour du silence.

     

    Après le décès d’une personne, son corps est enveloppé dans un vêtement blanc entouré d’une ceinture. La famille entretient le feu pendant trois jours. Les Zoroastriens croient que l’homme est composé de cinq forces : le Corps, l’Énergie, l’Esprit, la Conscience, le Frahvahar. Le troisième jour, apparaît le Daïems qui emmène l’âme vers la lumière ( la Maison des chants) ou vers les ténèbres (la maison du Druj). Pour ce faire, l’âme doit franchir le pont de Chinvat. Mais quand Ahura Mazda aura vaincu l’Esprit du Mal, toutes les âmes iront au Paradis.

     

    Les Zoroastriens rejettent le célibat et le jeûne. Le mariage est obligatoire à l’intérieur du groupe (je ne sais pas si en Iran, c’est toujours la cas) et la stérilité est considérée comme une malédiction. Ils prônent l’égalité entre hommes et femmes. Des femmes ont été nommées prêtres.

     

    Il n’y pas vraiment de cérémonie à la naissance mais l’initiation doit se faire avant l’âge de 15 ans : l’enfant reçoit une tunique (sardeh) nouée par un cordon de laine (kushi).

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

     

     

    Le temple du feu de Yazd date de 1930. Le portique est inspiré de l’architecture des Achéménides.

    Le temple du feu à Yazd

     

    Sur la façade, on voit le fravahar, d’inspiration achéménide et interprété par les Zoroastriens. L’homme est âgé car il représente la sagesse. Le fravahar est le symbole de l’âme et de l’esprit, il tient dans la main gauche un anneau pour tenir ses promesses (c’est l’équivalent de l’anneau de mariage). Les ailes, composées de trois registres, représentent les bonnes actions, bonnes pensées, bonnes paroles. L’anneau central représente l’Univers sans fin. De chaque côté des rectrices, se strouve le minoo : à gauche, les bonnes pensées et à droite les mauvaises pensées dont il faut se débarrasser.

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

     

    Sur les murs, se trouvent les phrases du livre sacré, l’Avesta.

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

     

    Les zoroastriens utilisent le calendrier lunaire (officiel), solaire et grégorien (relations diplomatiques)

     

    Le temple du feu à Yazd

     

    Le feu qui y est conservé brûle depuis 1500 ans. Créé en 470, il a ensuite été transféré dans plusieurs endroits, Pars Karyan, Aqda, Ardakan… avant d’arriver à Yazd en 1934. Les non-Zoroastriens ne peuvent pas entrer dans la pièce du feu.

     

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

     

    Dans le parc, il y a beaucoup de cyprès, c’est l’arbre sacré des Zoroastriens et des Achéménides.

    Le temple du feu à Yazd

     

    Nous voyons une copie d’un bas-relief vu à Persépolis dans le palais le Palais de Darius (Tachara) : le roi combattant un animal à queue de scorpion, tête de lion, ailes d’oiseau, griffes d’aigle.

    Le temple du feu à Yazd

     

    Les Zoroastriens mettent des aliments sur une table avant le nouvel an. Les Iraniens le font avec n’importe quelle religion.

     

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

     

    Les prêtres portent une ceinture blanche (sedreh), une ceinture (kosti).

    Le temple du feu à Yazd

     

    Pains de sucre pour le mariage.

    Le temple du feu à Yazd

     

    Pendant le mariage, les nouveaux mariés sont assis. Les sœurs de la mariée tiennent une nappe au-dessus de la mariée. La troisième frotte du sucre sur la nappe.

    Le temple du feu à Yazd

    Le temple du feu à Yazd

    costumes :

    Le temple du feu à Yazd

     les femmes et le Zoroastrisme :


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