Très bonne soirée musicale et poétique à Buthiers avec Emmanuelle Favrier (j'avais beaucoup aimé "Le courage qu'il faut aux rivières", sur les vierges jurées d'Albanie) ;

j'ai acheté "Virginia", enfance et adolescence de celle qui deviendra Woolf Lecture de poèmes en musique (Abdelhadi El Rharbi). Beaucoup de bonheur.

Instruments de musique : le bendir (sorte de tambourin), le tambour de printemps, l'oud et d'autres instruments

Aujourd'hui, à l'AMI (musée de l'imprimerie", interprétation par Jean-Jves Ruf du texte de Blaise Cendrars. Spectacle eau et poignant qui fait écho à l'exposition de Jean-Claude Morice (même lieu) sur les Bleuets et les gueules cassées et à la lecture (nuit de la lecture en janvier) de "La chambre des officiers " de Marc Dugain.

"être ici est une splendeur" (Marie Darrieussecq)

Vie de Paula M. Becker, peintre allemande (1876-1907), mariée au peintre Otto Modersohn, amie de la sculptrice Clara Westhoff et de son mari Rainer Maria Rilke (le titre du livre est une phrase de Rilke). J'ai beaucoup aimé ce livre qui m'a permis de découvrir une artiste que je ne connaissais pas.

Les petites histoires de la grande boucle (Jean-Paul Brouchon)

des anecdotes sur des coureurs cyclistes des débuts : Antonin Magne, Leducq, les frères Pélissier, Léon Scieur, Robic, Coppi, Darrigade, Bobet...

Hurlements (Alexis Laipsker), un des thrillers en compétition pour le prix du Coquelicot noir de Nemours. Très violent mais on veut connaître la fin

La somme de toutes nos larmes (Jean-Christophe Boccou) également en compétition pour le Prix du Coquelicot Noir

à Haïti et à Paris, les rites vaudou, la violence du pays. Passionnant.

L'amour (François Bégaudeau)

un petit roman très court qui ne m'a pas vraiment émue. La vie simple d'un couple. Mais cela ne m'a pas fait rêver.

Un simple dîner (Cécile Tlili)

 Un huis clos entre deux couples. Et tout dérape au cours de ce dîner. J'ai beaucoup aimé.

La langue des choses oubliées (Cécile Coulon)

J'aime beaucoup les romans de cette auteur (Trois saisons d'orage, Seule en sa demeure). Dans ma PAL : Le cœur du pélican, Une bête au paradis

Ici, une histoire de guérisseurs. Sombre, âpre, poétique.

C'est Pour seul cortège (Laurent Gaudé)

C'est le second livre de Laurent Gaudé que je lis (dystopie). Ici, c'est la mort d'Alexandre et le trajet de son cortège depuis Babylone jusqu'à Alexandrie (ce n'était pas la destination qui était prévue par Perdiccas : Aigai mais Ptolémée a détourné le convoi en cours de route. On retrouve tous les personnages qui ont gravité autour de Alexandre : Olympias, Dryptétis, Seleucos, Sisygambis, ... Et on va même en Inde, plus loin que l'INdus... J'ai adoré.

146298 (Rachel Corenblit)

un livre pour ados recommandé Par Max (15 ans)

quand Adré découvre l'histoire de sa grand-mère déportée et tatouée

Petites dents, grands crocs (Emilie Guillaumin)

thriller psychologique. La fin m'a laissée perplexe. J'ai lu également "L'embuscade" de cette auteur qui viendra mi mars à la bibliothèque.

Missak, l'enfant de l'affiche,

album pour enfants écrit par Didier Daeninckx et illustré par Laurent Corvaisier, l'histoire de Missak Manouchian

acheté en 2010 et dédicacé par les auteurs

Très beau spectacle dimanche dernier à Malesherbes. Par la compagnie du grenier de Baboucka. Spectacle enlevé et tout y était, les batailles, les amours, les morts.

Par cette même compagnie, nous avions vu "L'avare" en novembre 2023

une relecture, suite à la lecture de ce livre par la Cie Rosa-M  et l'exposition de Jean-Claude Morice sur les Gueules cassées (nuit de la lecture à l'AMI) La chambre des officiers (Marc Dugain)

La fin des hommes (Christine Sweeny-Baird). L'histoire d'une pandémie qui touche uniquement les hommes, 9 sur 10 meurent). Ce qui est troublant c'est que le livre a été écrit quelques mois avant la COVID ! le confinement, la course au vaccin, les anti-vaccins et complotistes. En beaucoup plus sombre cependant, les rapports hommes-femmes sont inversés, l'Ecosse est un état indépendant, en Chine il y a des états-villes (Mcao, Shanghaï, Pékin...) et une guerre civi_le. La fin cependant est optimiste. Bon livre.

Un Juif pour l'exemple (Jacques Chessex, prix Goncourt pour "L'Ogre"). Une histoire vraie qui s'est passée en Suisse en 1942/43 quand l'auteur était enfant. Sous l'impulsion d'un ancien pasteur pro-nazi, des habitants du village assassinent un marchand de bestiaux juifs. Livre très court mais poignat0

Un brillant avenir (Catherine Cusset). En Roumanie, au cours du XIX è siècle. Pogroms, émigration aux USA d'une jeune femme.

Zulu (Caryl Férey). J'ai lu ce polar parce que comptais aller au Salon du Coquelicot noir à Nemours où l'auteur était  l'invité d'honneur. Thriller très sombre qui se passe en Afrique du Sud après l'apartheid, dans les bidonvilles. On y parle du Project Coast. Ce programme d'armes bactériologiques durant l'apartheid de 1981 à 1993 et destiné à contrôler la population noire, bénéficiait du silence des grandes puissances occidentales.

un  polar en compétition pour le Prix du Coquelicot noir

L'homme qui ment (Marc Lavoine); autoboiographique