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l'aménagement de la cuisine se poursuit. Merci à mes frères pour m'avoir aidée dans le coin "coquelicots"... j'avais peint ces coquelicots autrefois à l'huile sur papier toilé. Didier a fabriqué les cadres que j'ai peints du même rouge que le mur et Jean-Paul les a accrochés bien droits. J'ai collé un sticker écriture pour habiller le mur rouge.
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échange Halloween, forum l'ATC du point de croix
reçu de Cathia :
et envoyé :
brodée par Guy, pour Marie
pour Aurore
reçu d'Anne-Marie pour Guy qui termine la sienne
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À l’arrivée à Xiamen (en pinyin xiàmén shì et en chinois simplifié 厦门市 , ce qui signifie porte du manoir (porte = mén 门.
Cette ville portuaire se trouve en face de l’île de Taïwan. Nous sommes accueillis par notre guide anglophone, Cindy (nom chinois : Cheng) et M. Zhou, notre chauffeur. Heureusement, Christian, notre accompagnateur traduira les explications de Cindy. Il fait chaud (31°), c’est une région très humide. Après un petit circuit dans les montagnes pour découvrir les tulou, nous reviendrons le samedi à Xiamen, deux jours avant le passage du super-typhon Dujian.
Xiamen (province du Fujian) compte 4 millions d’habitants. Les premiers voyageurs européens lui avaient donné le nom de Amoy. Elle est bâtie sur une série d’îles reliées entre elles. Un tunnel relie l’île sur laquelle est bâtie la cité au continent. Le Fujian est une région montagneuse et il y a de nombreux tunnels sous la montagne qui servaient à échapper aux assaillants (Xiamen a été le théâtre de nombreuses guerres). Autrefois, Xiamen était la porte d’entrée pour le commerce de la soie et du thé. Actuellement, c’est un port commercial très important. Les spécialités culinaires sont les crevettes, les poissons, les fruits de mer. En début d’après-midi, la circulation est très fluide car les gens font la sieste. Il y a un million de voitures. Il y a 50 ans, la plus haute construction faisait 7 étages.
Après un très court moment de repos, nous prenons le ferry pour la petite île de Gulangyu (2 km²), accessible en bateau seulement. Cela nous permet d’avoir une vue sur le port et les nombreuses grues (on dit que la moitié des grues dans le monde se trouve en Chine).
En route, nous voyons la statue de Kolinga, héros local qui a combattu les Mandchous et chassé les Hollandais de Taïwan au XVII è siècle. Après le traité de Nankin en 1842 (fin de la première guerre de l’opium), l’île devint une enclave étrangère (résidence de 13 nationalités). L’île fut occupée par les Japonais de 1942 à 1945.
L’île est interdite aux voitures et aux vélos. Les Chinois sont nombreux à se promener dans l’île à l’abri de leur parapluie (comme les Chinoises aiment avoir la peau blanche, le parapluie sert à se protéger aussi bien du soleil que de la pluie.
Banian. Des bambous maintiennent les racines des banians.
Bâtiment en brique : ce sont appartements de fonctionnaires mais ils n’en veulent pas car ce bâtiment a servi d’ambassade du Japon pendant l'occupation japonaise et de prison 'des exécutions y ont eu lieu).
Union Church et église catholique (blanche). Les Chinois aiment se marier et se faire photographier dans l’île.
Papayer
longanes
Musée des pianos : 200 pianos réunis par HU Youyi sont abrités dans un musée au milieu du jardin Shuzhuang, jardin avec des espaces paysagés à la chinoise, grottes, petit pont en zigzag, statues…
Rocher du rayon de soleil
flamboyant :
frangipaniers
hibiscus :
nombreuses décorations à base de pots de fleurs... quand c'est fané, on enlève :
j'aimerais bien connaître le nom de cet arbre :
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