Pour l'échange de chats avec Delphine, j'ai peint ce chat en me servant du livre "dessiner et peindre les chats" (Edit ESI) , pas à pas de Thierry de Marichalar
travail dans le mouillé, les moustaches sont faites au drawing gum

Je ne me lassais pas du paysage que nous aviions devant l'hôtel à Höfn, en Islande :
une rangée de glaciers dans la lumière bleue du matin. C'était magnifique. L'eau et la mer étaient d'un bleu très pur. L'Islande n'est pas vraiment le pays de la pollution, et j'espère que cela restera ainsi !
Pour revoir des vues de Höfn, c'est ICI.

Depuis quelques jours, je travaille assidûment à mon carnet de voyage sur l'Islande (pas peint sur le motif, trop difficile pour moi, mais d'après les photos que j'ai prises)
Voici donc  pages que j'aime bien : les petites cabanes de Nupsstadur, tout près de la maison du vieux Philippus (il habite loin de tout et pourtant a 99 ans passés), maintenant il ne conduit plus sa légendaire jeep rouge et jaune qui rouille peu à peu.
Et puis cette page de chevaux, faite en cours car je ne voulais pas la rater : la bande de chevaux a été faite sans dessin, directement au pinceau et aujourd'hui, j'ai passé mes deux heures sur le cheval. Il faut dire que la prof m'a aidée, beaucoup aidée...

De temps en temps j'essaie de travailler seule, sans l'aide de la prof. Je voulais donc fêter l'anniversaire de Marie angeldream, la randonneuse qui est toujours par monts et par vaux, dans son Jura bien sûr.

Alors j'ai essayé de peindre ce lys martagon et la source du Lison. Finalement, Marie, elle ressemble à la souce de la Loue !

Demain je vous ferai un slide de cette vallée du Lison mais maintenant il est trop tard !

Avec ce temps gris , j'avais envie de couleur. Au cours de peinture, j'ai donc décidé de peindre à l'aquarelle des hortensias. Pour une fois, cela a été assez rapide, j'ai essayé de travailler par taches, de ne pas trop reprendre. Et j'aio fait un petit buisson dans la foulée. Finalement, je préfère l'aquarelle et le pastel à la peinture à l'huile.  Du grabouillis, dirait Jules, mais du grabouillis qui me rend heureuse...