• Aujourd'hui, je vous montre une des compositions du Festival des jardins : le vilain petit jardin de M.Vilain... Amusez-vous avc ce jardin en friche, la porte d'entrée avec la casserole et la cuillère en guise de sonnette, les pancartes et les mots d'enfants, les toilettes à l'ancienne (oui, oui, c'était comme ça !), la lessive qui sèche, le cimetière d'animaux (à côté de la tombe du chat, une plus petite celle du poisson rouge...)


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  • Anilou est impatiente de voir les photos du festival des jardins du Château de Chaumont. Le thème de cette année était "Jardins corps et âme". Nous n'avons pas eu le temps de visiter le château. Dommage car il y avait une exposition sur la montagne sacrée de Huanshan et une autre sur les jardins de Shanghaï.

    Dans ce diapo, vous verrez quelques photos du château, le jardin des brumes (paysage permanent), des dahlias, des graminées et quelques-unes des compositions paysagères :

    Un hommage à Lady Day : on s'installe dans de confortables fauteuils pour écouter la merveilleuse Billie Holliday, Lady Day

     

    Bon thé, bon genre : des assiesttes et des tasses à thé dans un claustra

    Cheveux d'ange : au milieu du bassin, des tillandsias et des nénuphars

     

     


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  • Connaissez-vous les poires tapées de Rivarennes ? Nous avons visité ce charmant musée où Jacqueline nous a raconté l'histoire de ces poires.
    Autrefois, pendant les veillées, les gens se réunissaient pour éplucher et sécher les poires récoltées en automne et en hiver. Ces poires étaient ensuite exportées dans toute l'Europe via la Loire.
    Vers 1932, ce mode de conservation des poires fut abandonné (crise de 1929 mais aussi la pasteurisation, méthode beaucoup plus rapide pour conserver les fruits)
    A Rivarennes, Léontine Guillon connaissait encore le secret de séchage des poires et le communiqua à des gens du village. Vers 1987, on se mit à nouveau à récolter les poires (des poires dures, comme la queue de rat, la Curé, la Japoule). Les fruits sont ébouillantés pendant quelques minutes puis parés (il existait des machines dans lesquelles on introduisait les poires pour les éplucher). On garde la queue et la fleur de la poire. Puis les poires sont rangées la queue en bas et enfournées pendant deux ou trois jours (les poires sont retournées, sorties du four qui est réchauffé puis on enfourne à nouveau). On fait sécher ainsi 150 kg par fournée. On aplatit ensuite les poires (Léontine se servait d'une platissoire mais dans d'autres régions on se servait peut-être de battoirs à linge). Les poires sont remises dans le four tiède pendant un jour et une nuit.
    A la fin de l'opération, il n'en reste plus que 22 kg.
    Les fruits peuvent ensuite être conservés pendant des années, si on ne les mange pas avant !
    A Rivarennes, il existe maintenant 5 producteurs : le CAT (qui produit 2 tonnes de fruits secs), le boulanger, deux autres producteurs et une association de 100 personnes (c'est cette association qui possède le musée). Une association de 100 personnes pour un village d'un peu plus de 300 habitants, c'est formidable, non ? Les adhérents de l'association se réunissent pour récolter leurs fruits, les éplucher, les sécher et les vendre.
    Notre visite s'est terminée par une dégustation de différentes poires : la curé, la queue de rat et la conférence.
    Pour déguster les poires, c'est facile. Vous devez les réhydrater en les faisant cuire quelques heures dans du vin blanc, rosé ou rouge (le vin servira à l'apéritif), ou dans du thé. On peut déguster les poires telles quelles ou les mettre dans des gâteaux, en accompagnement de magret....
    Une recette : un CLIC link ou encore là link
    ET cette petite vidéo link vous montrera comment on aplatit (on tape) les poires...

     


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  • Nous avons emmené Jules pour un tour dans la magie colorée des jardins de Chaumont-sur-Loire. 2 heures de promenade, pas toujours facile : les jardins de brume, ça fait peur ! Des compositions très originales : des arbres rouges, un paysage tout en jaune, un autre tout blanc, un tout noir, des tunnels métalliques, un pont en lamelles métalliques un peu branlant,, de drôles de sphères creuses suspendues dans lesquelles on pouvait mettre la tête pour voir le monde en bleu ou en rouge.
    Mais mon paysage préféré, ce fut celui de la lessive : des vêtements teints du bleu au mauve, chemises, culottes mises à sécher...
    Et savez-vous ce que Jules a préféré ? eh bien, évidemment, la glace à la vanille et à la fraise des bois !
    Le slide est un peu long mais j'espère que la visite vous sera agréable...

     

     


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  • De retour sur le Net.... Promis, j'irai demain vous rendre visite mais ce soir, je voudrais vous faire découvrir un restau sympa, en Indre-et-Loire, près d'Ussé, à Vallères : Croq en broc. Vous l'avez compris : on y mange dans un décor de brocante -(tous les objets exposés se vendent)
    C'est la déco qui nous a attirés : des mannequins vêtus à l'ancienne, des culottes fendues et des chemises de grand-mère en guise de rideaux, des horloges sur disque vinyl montées à l'envers, des cadres de fenêtres fixés au mur,....
    En plus, on y mange bien (flan de tomates au pistou, merlu en papillote, pain perdu aux framboises) pour pas cher. Service rapide malgré l'affluence (midi c'est aussi le moment où les gens viennent au bar) et il n'y a que les patrons, Caroline et Alain pour servir. Mais on peut s'occuper en regardant les objets ou en lisant les revues de la région (almanach d'Indre-et-Loire) dans le petit salon de l'entrée.
    Alors, si vous passez par là....
    Et les jours prochains, je vous raconterai les jardins de couleur de Chaumont-sur-Loire, le château de la Belle au bois dormant à Ussé, le concert d'Alvin Lee à Avoine, et les poires tapées de Rivarennes....

     

     


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