• Encore "The house of the rising sun" par Joan Baez cette fois
    Voici où j'en suis de mon SAL Egypte (organisé par Mag
    Je suis très en retard par rapport aux autrs participantes !
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  • Une chanson des Doors, "Break on through"


    Aujourd'hui j'ai fait la deuxième partie du SAL "à bientôt" de chez Wensi tire-fils
    Je vous montrerai mes autres en-cours plus tard

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    et voici l'interprétation de Françoise

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  • Une chanson ? Robert Zimmerman, alias Bob Dylan
    Blowing in the wind

    Je n'ai pas de coings dans le jardin mais j'ai un cognassier du Japon. Je me souviens que j'avais trouvé que Franquie avait fait un drôle de commentaire "ça se mange ?". Pour moi ces "pommes" du Japon n'étaient pas comestibles mais une amie m'a dit qu'on pouvait en faire de la gelée.
    Effectivement sur Internet j'ai trouvé des recettes. Malheureusement je n'ai pas écouté le conseil qui dit que quand on fait des confitures on ne fait rien d'autre ! je n'ai donc pas surveillé la cuisine et je n'ai obtenu aucun jus ! Alors j'ai mouliné la chair, ajouté autant de sucre, de la cannelle, du sucre vanillé et de l'anis étoilé. J'ai obtenu une pâte épaisse (ces pommes contiennent davantage de pectine que les coings)
    Cela donne une pâte citronnée, un peu acide mais pas désagréable. Je pense qu'il faudrait ajouter des pommes pour atténuer l'acidité. On parle souvent de pommier du Japon, en fait il faudrait dire "cognassier du Japon" car les fruits rappellent davantage les coings que les pommes. Cet arbuste s'appelle le chanomeles. Les pépins ont des vrtus médicinales, on extrait des fruits un parfum : l'essence de cananga et on peut faire de la gelée ou de la liqueur avec les fruits. Qui a déjà fait de la gelée avec ces fruits ?

     


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  • Tout d'abord une chanson, au sujet pas si éloigné que ça de mon article du jour : la généalogie. Mes ancêtres paternels sont  beaucerons et percherons 100% mais ma grand-mère, Anna Burgot, la petite bretonne qui est arrivée en Beauce à 12 ans, a--t-elle été si bien accueillie que ça ? on dit que le mot "baragouiner", plutôt péjoratif, viendrait du breton "bara gwin" pain et vin (mais cette explication n'est pas certaine). La soeur d'Anna, concierge à Paris a épousé un fumiste italien. Et les ancêtres de mon mari, étaient des maçons creusois, migrants saisonniers, pas très bien accueillis à Paris ! Quand on fait de la généalogie on s'aperçoit qu'on est issu du mélange des peuples et des races.
    Bref, aujourd'hui, c'était journée généalogie pour un ami habitant dans le Nord. Alors nous sommes allés dans les mairies (merci aux secrétaires pour leur accueil) photographier pour lui des actes aux Choux (origine du mot : pas le légume, mais, avis aux amateurs, les chouettes !), puis à Langesse, puis à Montereau et à Boismorand, tout ça du côté de Gien.
    Savez-vous ce qu'est que la recherche généalogique ? quand on commence on ne peut plus s'arrêter. Avec le point compté, la peinture, j'avais un peu abandonné mes recherches qui piétinent (je suis arrivée dans les années 1600). Alors j'aime bien chercher pour d'autres et je retrouve le plaisir de la découverte ! Un acte de décès nous donne la date de naissance, et quand on trouve le mariage on obtient parfois jusqu'à 10 dates dans le même acte ! Et savez-vous le plaisir que c'est quand, après avoir cherché un acte, deux, trois ou quatre ans, on le trouve enfin !!!
    Bon il va falloir que je nettoie les photos et que je les envoie !

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  • Dans le cadre des journées du patrimoine, le parc château de Rocheplatte est ouvert et le prince Murat (descendant de Joachim Murat et de Caroline Bonaparte) et sa famille font visiter la chapelle du château et la crypte.
    Le château de Rocheplatte fut ruiné pendant la guerre de cent ans, il fut habité par différentes familles dont les La Rochefoucauld d'Estissac et enfin par les princes Murat. 
    C'est l'évêque d'Orléans, Monseigneur Dupanloup, qui fit transformer et agrandir une tour pour y célébrer des offices.
    Nous sommes descendus dans une crypte gothique, éclairée de façon très romantique par des petites bougies posées au sol. On y vénérait les déesses et dieux de la fertilité et des moissons. Les clés de voûte représentaient le soleil ou des fleurs stylisées. Deux visages aussi, l'un souriant, l'autre triste. Les ogives des voûtes étaient magnifiques de sobriété. Cette crypte servait de cave à vin et pendant les guerres, les propriétaires y cachaient les tableaux ou objets précieux derrière un mur. J'ai beaucoup aimé cet endroit.
    Nous avons fait un tour dans le parc, admiré les tours, les douves et nous sommes allés jusqu'au confluent de l'Oeuf et de la Rimarde qui se rejoignent pour former l'Essonne.
    A la brocante du château, nous avons un cochon à l'oreille cassée (un euro) et, pour six euros,  deux volumes de 1788 "galerie de l'ancienne cour ou mémoires anecdotes pour servir à l'histoire des règnes de Henri IV, louis XIII, Louis XIV et Louis XV" estampillés "sigillum comitatus de Rocheplatte" avec les armes que vous voyez sur la façade "coupé d'argent et de sable au lion de l'un en l'autre", on y lit par exemple l'accouchement de marie de médicis à Fontainebleau.

     


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