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Jésus, trois jours avant sa mort (Gilbert Bordes)
lu après la venue de cet auteur à la bibliothèque.
La vengeance du pardon (Eric-Emmanuel Schmitt)
quatre nouvelles à chute. J'ai beaucoup aimé
Nouvelle Babel (Michel Bussi)
Comme d'habitude, beaucoup de péripéties. La Terre en l'an 2097, cent ans après la première téléportation. Plus besoin de moyens de locomotion ! Plus de frontières, une seule langue, un seul peuple... 10 milliards d'habitants. Mais que faire de ceux qui veulent retourner au passé ? Et que peut-il se passer quand le Président peut manipuler l'information et avoir accès à une banque de données regroupant tout ce qui fait la vie des Terriens ? La fin est cependant davantage prévisible que dans d'autres romans. On voyage beaucoup dans ce livre, au Mont Popa (en 2015, j'ai monté les 777 marches, sans me téléporter), à Samarcande, au Point Némo, dans l'île brésilienne de Queimada Grande, l'île déserte qui contient la plus grande densité de serpents venimeux, les jararacas... dans le désert d'Aralkum...
Dix petits noirs, collectif
Un recueil de dix petits Syros (jeunesse) de Joseph Périgot (qui a tué Minou-Bonbon), Thierry Jonquet ( on a volé le Nkoro-Nkoro), Marie et Joseph (le crime de Cornin Bouchon), Jean-Loup Craipeau (Crime Caramels), , Olivier Mau (Armand et le commissaire Magret), Marc Villard (les doigts rouges), , Gérard Carré (Sèvres-Babylone), Didier Daeninckx (Le chat de Tigali), René Fregni (Marilou et l'assassin),, Jean-Luc Oppel (trois fêlés et un pendu).
cela m'a rappelé des souvenirs car la plupart de ces livres étaient dans ma bibliothèque de classe.
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Vivaldi a écrit un opéra sur Skanderbeg, "le" héros national.
Mercredi 14 septembre
Tirana a été fondée en 1614. Sulejman Pacha Bargjini fait construire une maison, un hammam turc, une boulangerie, une petite mosquée. La ville s’agrandit peu à peu. Les descendants de Sulejman, Molla Mehmet Bey et son fils Haxhi Et’Hem Bey (1783-1846), font construire la mosquée qui se trouve actuellement sur la place Skanderbeg.
À côté de la mosquée, il y avait un cimetière.
La rivière Lana traversait la ville. Elle a été ensuite détournée et canalisée, elle partage la ville en deux.
En 1900, la ville ne comptait que 12000 habitants. En 1920, après le Congrès de Lushnja, elle remplace Durrës comme capitale. Zog I veut en faire une capitale moderne et fait appel à un architecte italien (période fasciste). Pendant la guerre, elle est occupée par les fascistes et les nazis et est libérée le 17 novembre 1944. La ville comptait alors 45 000 habitants.
Pendant la période communiste, Enver Hoxha fait raser de nombreux bâtiments ottomans et construire le Palais de la Culture et le Musée national d’Histoire.
Après la chute du communisme, des habitants de Tirana ont émigré en Italie et dans d’autres régions d’Albanie.
Sous l’impulsion d’Edi Rama, peintre, maire de Tirana de 2000 à 2011 et actuellement Premier Ministre, des bâtiments (ministères du gouvernement albanais, immeubles) ont été peints de couleurs vives.
Il y a actuellement 600 000 habitants à Tirana.
la place Skanderbeg avait d’abord une forme circulaire puis une forme rectangulaire sous la période communiste (pour les parades militaires)
Cette place a été refaite dans les années 2000 et est entièrement piétonne. Elle mesure 24 000 m² plus 24 000 m² de végétation. En 2015, elle a été recouverte de pavés provenant de toutes les régions d’Albanie, du Kosovo et de Macédoine du Nord. La place est très chaude et des jets d’eau la rafraîchissent.
la place autrefois :
Tout autour de la place, ont été construits des bâtiments appartenant à plusieurs périodes de l’histoire de la ville (ottoman, austro-hongrois, fasciste, soviétique, contemporain).
à droite, la banque; au milieu l'hôtel Plaza0 La banque est un bâtiment construit pendant la période italienne (fasciste)
à gauche la mosquée
tout à gauche, la statue de Skanderbeg
Le Palais de la Culture - opéra est typique de l’architecture soviétique. Nikita Khrouchtchev a posé la première pierre en 1959. Mais en 1963, lors de l’inauguration, il n’était pas là : les relations diplomatiques albano-russes étaient coupées et le chantier a été terminé par des ingénieurs chinois.
Le Tirana international hôtel est constitué de deux tours, la plus ancienne est surnommée Pesëmbëdhjetëkatëshi, ce qui signifie « 15 étages ». La deuxième vient d’être achevée, elle mesure 133 m et compte 33 étages. Sous la période communiste, il était interdit de construire des immeubles de plus de cinq étages de peur que les espions ne découvrent les secrets d’état.
Le bâtiment Alba Skela s’est déplacé un peu suite à un tremblement de terre
statue de Skanderbeg, (Gjergj Kastrioti Skaënderbeu). Cette statue de 5 m de hauteur (11 m avec le piédestal) date de 1968, 500 ans après la mort de Skanderbeg (1405-1468). Il est représenté avec son casque surmonté d’une tête de chèvre, une épée offerte par le sultan Mourad II, la cape remise par le pape Paul II, et son cheval dont le hennissement, dit-on, terrifiait les ennemis. Pourquoi une tête de chèvre ? On dit que, pour faire croire aux Ottomans que son armée était nombreuse, il avait fixé des bougies aux cornes des chèvres.
Autrefois, il y avait aussi la statue de Staline (ou de Lénine, je ne sais plus) et celle de Enver Hoxha
Skanderbeg était le fils du prince Gjon Kastrioti, il a vécu en otage à la cour du sultan turc dans son enfance. Il a été élevé dans la foi islamique et a également reçu le nom d'İskender bey. Il réussit à s’échapper et occupa le château de Kruja. Il est revenu à la foi chrétienne et a commencé une guerre d'indépendance contre les Turcs. Ses alliés étaient le roi hongrois Władysław I, János Hunyadi et Alphonse V d’Aragon. Il a remporté des victoires contre Mourad II puis Mehmet II. Ce dernier a finalement été contraint de le reconnaître comme prince d'Albanie en 1461.
Un film de Sergueï Youtkevitch lui rend hommage 183), ainsi qu’un opéra de Vivaldi, un poème de Ronsard des écrits de Voltaire. Napoléon le considérait comme un des meilleurs stratèges.
L` Epire seulement en chevaux n`est fertile ,
Bons à ravir le prix au cours Olympien :
Mais en hommes guerriers, dont le sang ancier
Brave se vante yssu du valeureux Achille.
Pyrrhe (2) m`en est tèmoin, qui, razant mainte ville
Eut enfin pour tombeau le vieil mur Argien,
Et Scanderbeg vainqueur du peuple Scythien
Qui de toute l`Asie a chasse l`Evangile.
O l`honneur de ton siecle ! o fatal Albanois !
Dont la main à desfait les Turcs vingt et deux fois (3)
La terreur de leur camp, l`effroy de leurs murailles:
Tu fusses mort pourtant, englouty du destin
Si le docte labeur du Scavant Lavardin
N`eut, en forçant la mort, regagné tes batailles
Pierre de Ronsard
la mosquée Et’Hem Bey : Construite de 1794 à 1821, elle abrite les tombes de Haxhi Et’Hem Bey, de son père et de sa femme. Les peintures ont été rafraîchies il y a quelques années. Les peintures de paysages sont rares dans l’art islamique du XIX è et montrent l’influence du bektashisme (Kaxki Et’Hem Bey était poète et a écrit sur le bektashisme). Le balcon est réservé aux femmes.
Comme elle représente l’histoire de Tirana, elle n’a pas été détruite par les communistes.
À côté, la Tour de l’horloge date de 1824, elle mesure 35 m. De même que la mosquée, elle a été construite par Haxhi Et’Hem Bey pour que les musulmans connaissent l’heure de la prière.
statue de George W.Bush devant le siège du Parti Demokratike. Bush est le premier président américain à se rendre en Albanie deux ans avant l’adhésion de l’Albanie à l’OTAN (à Fruje- Kruja où il y a aussi une statue). Après la visite, Bush a pris un café. Le patron du café expose la tasse et la soucoupe. On peut les utiliser mais c’est plus cher. Bien sûr, le café s’appelle Bush Bush. Des places et des rues ont reçu le nom de Bush et même une boulangerie !
Le pont des Tanneurs date du XVIII è. C’est maintenant un pont piétonnier, la rivière Lana ne coule plus dessous. Il est situé dans l’ancien quartier des tabakëve, tanneurs et bouchers. Autrefois, le pont permettait aux bouchers de s’approvisionner en bétail.
Sur le chemin de l’aéroport, nous voyons une maison sur le toit d’une construction à deux étages.
Autrefois, l’aéroport était petit : il n’y avait que 5 vols par semaine (7000 personnes par an) principalement vers la Hongrie, Roumanie, Grèce. La zone de l’aéroport était interdite aux Albanais. Celui qui possédait un passeport rouge pouvait quitter l’Albanie (cela concernait peu de personnes)
Actuellement, à l’aéroport Mère Térésa, il y a 65 vols par jour, plus de millions de personnes par an, principalement vers l’Europe.
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avec des aquarelles granuleuses Daniel Smith, j'ai utilisé vert Cascade qui, en séchant se décline en vert et bleu, et un soupçon de bronzite véritable (or) et le clair de lune (violet dans les coins.
Format carte postale et format ATC
pour les autres vidéos de Virginie : CLIC
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Struga se trouve sur la rive nord ouest du lac d’Ohrid et est traversée par le Drin Noir qui se jette ensuite dans la mer Adriatique.
À Struga a lieu depuis 1962 un festival international de poésie. Les Soirées poétiques de Struga se tiennent sur le Pont de la Poésie et on commence par la déclamation du poème de Konstantin Miladinov, enfant du pays, « Nostalgie du Sud ». Parmi les lauréats ayant reçu la Couronne d’or, on peut citer Pablo Néruda (1972), Léopold Sédar-Senghor (1975), Eugène Guillevic (1976), Yves Bonnefoy ( 1999).
NOSTALGIE DU SUD
Comment avoir des ailes d’aigle,
et m’envoler dans nos régions,
m ’en aller dans nos pays,
voir Istanbul, voir Koukouche
voir si là-bas aussi, le soleil
apparaît sombre, comme ici.
Si comme ici le soleil me rencontre,
si là-bas aussi, le soleil luit sinistrement,
pour un lointain voyage je partirai
et dans d’autres pays m’enfuirai,
là où un soleil clair se lève
et où le soleil sème des étoiles.
II fait sombre ici, les ténèbres enveloppent,
un obscur brouillard couvre la terre,
et des gels et des neiges et des poussières,
et des vents puissants et des tempêtes,
tout autour, brouillard et terres gelées,
du froid dans la poitrine et des noires pensées.
Non, je ne peux pas rester ici,
non, je ne peux pas regarder ce gel !
Donnez-moi des ailes
pour m’envoler dans nos régions,
m’en aller dans nos pays,
voir Ohrid, voir Struga.
Là-bas, l’aurore réchauffe l’âme,
et un soleil clair se couche sur la forêt;
là-bas, avec splendeur, la force naturelle
a répandu ses dons:
Tu vois blanchir le lac limpide,
tu le vois, à cause du vent, s’obscurcir en bleu;
et que tu regardes la plaine ou la montagne,
la divine beauté est partout.
Là-bas, de tout cœur, je voudrais jouer du pipeau,
et que le soleil se couche et que je meure.
Struga est également célèbre parce que près de là, à Kalichta, se trouvent deux églises troglodytes ornées de fresques.
Autrefois les sœurs ont été plus ou moins expulsées car l’endroit est devenu la résidence de l’archevêque de l’église orthodoxe de Macédoine. Maintenant il y a encore trois sœurs pour garder les traditions. L’escalier qui monte aux cellules est très raide.
C’est autour de l’église de la Nativité-de-la-Mère-de-Dieu (Пештерна црква Рождество на Пресвета Богородица) que fut fondé le monastère.
l'église troglodyte :
Les fresques datent du XIVe au XVIe siècle
un séraphin (six ailes)
Nous n’avons pas visité l’église Saint-Athanase, ornée elle aussi de magnifiques fresques du XIV è siècle.
Il y a aussi trois églises construites récemment construites.
le monastère :
l'iconostase :
Peu après Struga, nous passons la frontière
et nous nous arrêtons dans un bar pour boire un café ou autre chose. Je choisis du thé des montagnes, (Sideritis scardica) (çaj= thé, muli = montagne). La plante est une lamiacée. On dit qu’il est efficace pour soigner les rhumes, les maux d’estomac et d’intestin. Il est aussi diurétique, relaxant, stimule les muscles. La panacée !
Nous traversons la campagne, des meules de foin pointues sont dispersées un peu partout.
Avant d’arriver à Tirana, nous nous arrêtons à Elbasan. Fondée au premier siècle avant J.-C sur le via Egnatia, la ville s’appelait Skampa. Une forteresse abritant une garnison de petite importance a été construite au II è siècle. Au XV è siècle, le pacha agrandit la ville qui prend le nom de El Bassem. La ville n’a jamais été assiégée. Actuellement, un quartier se trouve dans la forteresse. Pendant la période communiste, la ville abritait un grand complexe sidérurgique, ce qui occasionnait une pollution importante (naissance de volailles à deux têtes ou à trois pattes). Actuellement, on continue à produire de l’acier
Une tour blanche de 15 m de hauteur (Kulla e Sahatit) se dresse sur un bastion de la citadelle. Elle fut érigée en 1899 à l’emplacement d’une précédente tour en bois et servait à indiquer les heures de prière aux habitants musulmans. Une inscription indique qu’elle fut financée par Aqif Pacha Elbasani (1860-1926), militant indépendantiste, dont une statue récente figure au pied de la tour,
Pacha El Basini :
Nous logeons à Tirana à l’hôtel Prestige. Notre chambre est une belle suite, avec salon et balcon. Il faut traverser la rue pour aller au restaurant en face. Il fait beau.
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Ce matin, tout va bien, la tourista est passée. Je suis prête pour la visite d’Ohrid.
la citadelle vue depuis la chambre de l'hôtel :
dans l'hôtel :
le port :
Nous longeons le port d’Ohrid, dans un paysage de carte postale, pour arriver jusqu’à une grande esplanade où se trouvent plusieurs statues :
Celle des frères Cyrille et Méthode, moines évangélisateurs du IX è siècle et créateurs de l’alphabet glagolitique (vieux-slave). Ils tiennent un livre couvert de croix.
le monument de l‘épiphanie. En Macédoine du nord, le jour de l’épiphanie est férié. Le jour de l’épiphanie, le parrain réunit les gens des quartiers et ils préparent des fruits et légumes (pas de viande, ni d’œufs). On visite les maisons du village. De nombreux fidèles se lancent dans les eaux froides du lac pour attraper la croix que les prêtres ont jetée dans le lac. C’est ce que raconte cette statue de bronze.
La troisième statue est celle de Saint Naum, nous avons fait la connaissance de cet élève de Cyrille et Méthode, au sud du lac. Il y a une autre statue que nous n’avons pas vue, celle de Saint Clément (840916), il tient dans ses mains la ville d’Ohrid dont il est le patron. Il a fondé un monastère et participé à l’établissement de l’alphabet avec Cyrille, Méthode et Naum.
Comme je ne ne marche pas très vite, Gezim me propose (ainsi qu’à Maxime) de prendre de l’avance en empruntant un raccourci pour aller jusqu’à la cathédrale Sainte-Sophie. Nous passons devant le restaurant Antico où nous déjeunerons le midi, je note le nom et je fais bien car au retour nous avons perdu le groupe et, sans le nom du restaurant, il aurait été difficile de le retrouver ! Les autres sont passés devant les bijouteries : les perles et la nacre d’Ohrid sont les spécialités de la ville.
des pots de fleurs en sacs et chapeaux recyclés :
Je me contente d’acheter une breloque en forme de poisson devant la cathédrale.
La ville d'Ohrid est née pendant l'Antiquité : elle s'appelait alors Lychnidos et possédait un théâtre antique et une acropole. Au XI è siècle , la ville devient un grand centre religieux et culturel. On dit que la cille avait autant d’églises que de jours dans l’année.
Cathédrale Sainte Sophie
On remarque deux époques de construction : au XI è siècle (époque de St Méthode) et début du XIVè pour l’étage. Du XI è au XIV è, la cathédrale fut le siège de l’archevêché. Les fresques datent du XVI è et les peintures de l’autel du XI è.
Au XVI è, la cathédrale fut transformée en mosquée (les fresques ont été recouvertes) puis servit d’entrepôt. Elle est redevenue église en 1912. Depuis 1961, il y a un festival d’été à Ohrid. Ici, ont lieu des concerts de musique classique car l’acoustique est excellente.
C’est à cette époque qu’on a découvert les fresques du XI è. La première exposition à l’extérieur a eu lieu au Palais de Chaillot.
Une nouvelle iconostase a été posée après le réouverture de l’église.
Sur la voûte, est représentée l’ascension comme dans toutes les églises orthodoxes.
Ste Sophie est représentée avec ses trois filles : la foi, l’amour, l’espérance.
Une fresque représente saint Basile pendant la consécration de la Divine Liturgie.
Les fresques inférieures représentent les patriarches et évêques. Dans le chœur, sont représentés les six papes romains.
le théâtre antique : il pouvait accueillir 5000 personnes, il a été détruit par le grand séisme.
l’église Bogrodica Perivlepta (ou Sainte Marie Perybleptos), dédiée à la vierge.
Les photos sont interdites, j’en ai trouvé quelques-unes sur internet.
vision du prophète Daniel en fronton
l’hymne de noël
la Dormition de la Vierge : le Christ dans une mandorle avec des ailes
Au-dessus de Marie, le Christ tient dans ses bras un nouveau-né qui symbolise l’âme de Marie.
Tout en haut, autour de la fenêtre, le thème de l'assomption est symbolisé par les apôtres disposés en deux demi-cercles. Ils sont auréolés et assis sur leur trône pour célébrer l’arrivée imminente de l’âme de la Mère de Dieu. Enfin, en bas, à droite, le dernier personnage du cortège funèbre attire l’attention. C’est Jéphonias, un prêtre juif. Il est habillé de rouge et son visage a été vandalisé. Pour avoir voulu renverser la dépouille de la Mère de Dieu, ses avant-bras sont tranchés par l’épée de l’archange Michel. Dans les écrits apocryphes, Jéphonias est le symbole de la rédemption des Juifs qui n’ont pas voulu entendre le message du Christ. Ainsi, Jéphonias sera miraculeusement guéri après s’être converti.
la vie de la Vierge
joachim et anne se rencontrant à la porte d'or
les premiers pas de Marie :
Marie accusée par les prêtres :
la Vierge est confiée à Joseph :
les marchands chassés du temple
Les fresques datent de l’époque des Paléologue (sous les Commène, les peintres réalisaient des peintures plus foncées et figées). Ici,les visages reflètent des émotions et les couleurs sont plus vives.
Durant la période ottomane, elle fut une cathédrale et hébergea les reliques de saint Clément d’Ohrid.
Déploration du Christ
un Christ ailé
les âmes dans la main de Dieu :
l'échelle de Jacob :
18 Daniel explique le rêve de Nabuchodonosor
Sainte Sophie et ses trois filles :
21 saint grégoire de Nazianzus
saint Clément :
le musée des icônes se trouve tout côté de l’église. Photos interdites. Clic sur le site
Vierge qui montre le chemin (photo du livre acheté à Ohrid) God Hodigitria
l’église Pantaléon : on ne voit que l’extérieur. Elle se trouve devant un site romain. Au premier plan, l’imaret était le lieu où l’on servait la soupe populaire et où pouvaient venir chrétiens et musulmans.
église Saint Jean Caméo (on ne visite que l’extérieur). On y accède par un sentier assez pentu. L’église domine le lac. C’est un moment magique.
Les maisons typiques de Ohrid et les lampadaires qui en reprennent la forme
pistaches
Au restaurant Antico, nous dégustons une dorade, et un gâteau au vermicelle, miel et noix. On ne sert pas d’américano ni d’expresso mais un excellent café macédonien (à la manière des cafés turcs).
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