• A Oaxaca, nous avons assisté à un spectacle de danses du Guelaguetza. Je vous laisse admirer les costumes, couleurs et broderies éclatantes .

     




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  • Merci à Françoise et à Mumu, scrappeuses et brodeuses, pour leurs cartes et cadeaux ! cela me touche beaucoup !
    Admirez !

     


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  • Entre Puebla et Oaxaca, pas de végétation. Rien que des cactus cierges et candélabres, à perte de vue, sur les collines.
    Et comme dit Dutronc...



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  • Nous quittons Mexico, riche de merveilles historiques et archéologiques mais cela ne doit pas nous faire oublier que Mexico est aussi une  ville tentaculaire de 18 millions d'habitants, très polluée (pas de ciel bleu alors qu'il faisait grand soleil),, bruyante, violente. La pollution ne peut se disperser car la ville est entourée de montagnes (des volcans). Les bidonvilles s'étendent tellement sur les colline qu'un mur a été construit pour en arrêter la progression. Pas d'équipement sanitaire, sur le toit des maisons des grandes citernes servent de réserves d'eau. Les paysans quittent les villages pour s'installer à Mexico, construisent un abri de fortune qui deviendra définitif ... Bien sûr, pas de protection en cas de tremblement de terre.
    La ville de Mexico s'enfonce, certains bâtiments sont trop lourds pour le sol.
    Comment ne pas penser en longeant les bidonvilles de la périphérie au film de Bunuel "Los Olvidados" et plus réemment à "La Zona"... Le monde est vraiment plein d'inégalités...
    Nous quittons donc Mexico en direction de Puebla, à l'est  de Mexico.  Nous longeons des champs de poivrons, de cactus et autres cultures. Les paysans se servent de la faux.
    Quand nous arrivons à Puebla, nous cherchons le Popocatepetl, "la montagne qui fume" (5452 m) surnommé (affectueusement ?) "Popo". Il est bien reconnaissable à son panache de fumée qui sort du cratère. Volcan actif (en 225, il a projeté des cendres jusqu'à 5 km d'altitude). Une légende aztèque raconte que le guerrier Popocatepetl était amoureux de la princesse Itzaccíhuatl, "la femme blanche". Le père de celle-ci envoya le jeune homme guerroyer au loin et on annonça à la fille que son amoureux était mort et elle en mourut de chagrin. Quand il revint, vivant, il mourut lui aussi de chagrin. Les dieux les transformèrent en montagnes. On voit dans le sommet d'Itza une femme endormie et Popo, veille sur elle et, pour montrer sa colère, crache le feu.
    La ville compte plus de 70 églises et de beaux bâtiments coloniaux décorés d'azulejos. Comme dans toutes les villes mexicaines, les rues se coupent à angle droit.
    Notre hôtel, l'hôtel Colonial, est un ancien monastère jésuite, avec des meubles d'époque. Le toit en terrasse permet d'admirer les couchers de soleil et les vues sur les volcans. On y mangea du poulet au mole poblano (sauce avec 7 variétés de piments et du chocolat amer), Si vous voulez essayer, un CLIC pour la recette

     


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  • Les mystères d'OB, hier impossible de publier l'article sur Teotihuacán, aujourd'hui, je le modifie et voici qu'il est publié à nouveau... Excusez-moi pour cette mauvaise manip !!!

    Avant de visiter Teotihuacán, nous avons visité une taillerie d'obsidienne et la culture de l'agave.
    L'obsidienne est une roche volcanique dure et coupante, noire, rouge ou verte. Elle servait dasn les civilisations pré-colombiennes pour fabriquer des masques, des armes tranchantes (sacrificielles)

    Il y a plusieurs sortes d'agaves (agave = nom masculin) : qui donnent soit la tequila (l'agave bleue), le mezcal (un autre alcool, fabriqué surtout dans la region d'Oaxaca, nous n'en avons pas bu. On met dans la bouteille de mezcal, un ver, cela donne force et virilité...), le pulque, boisson fermentée et une autre sorte d'agave sert à fabriquer le sisal.
    L'agave a une croissance très lente. Les plantes mettent plusieurs années avant de fleurir. Elles ne fleurissent qu'une seule fois et meurent ensuite. Il faut donner les empêcher de fleurir pour qu'elles puissent produire de la sève pendant plusieurs mois. Une plante bien entretenue produira 6 litres de sève par jour.

    A partir de certaines espèces, on se sert des fibres des feuilles pour fabriquer du sisal qui peut se tisser. Les Indiens ont une aiguille toute trouvée : la pointe noire des épines de l'agave. Le jus des feuilles sert de savon. Les feuilles sont recouvertes d'une pellicule blanchâtre souple qui durcit à l'air et sur laquelle on peut écrire.

    Pour recuillir la dont on fera la tequila, ou le mezcal ou le pulque, on se sert d'une calebasse pour aspirer la sève qui se trouve au fond de la rosette de feuilles.

    Après la visite, nous avons dégusté un verre de tequila et une verre de puque (nous n'avons pas aimé le pulque, pourtant réputé aphrodisiaque). La tequila se déguste frappée, cul sec en léchant le sel sur le dos de la main et en croquant dans un morceau de citron vert
    On peut aussi la déguster allongée de jus d'orange et grenadine (sun rise), de jus de pamplemousse (Paloma), de coca, de jus d'ananas (Alamo), de kliqueur d'orange et citron vert (margarita)
    Attention : buvez avec modération, ce que nous avons fait : pas plus d'un cocktail de bienvenue par jour....
    et maintenant une chanson

     


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