• Fresque de l'Acropole de Mycènes, appelée "La dame de Mycènes" ( XIII siècle av JC)

    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes

    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes

    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes

     

    grande amphore pour rituel funéraire. VII è av JC.. Trouvée dans le cimetière de Kerameikos à Athènes (cimetière du Céramique). Sous le lit du défunt, les membres de la famille tirent sur leurs cheveux pour pleurer. On voit même un enfant.

     

    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes

     

    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes

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    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes

     

    Amphore funéraire trouvée dans le cimetière d’Analatos (Analatos s’appelle maintenant Nea Smyrni). Attribuée au peintre d’Analatos. VIIè av JC.

     

    Au musée archéologique d'Athènes : peinture et poteries mycéniennes


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  • Nous continuons la visite du musée archéologique d'Athènes avec les objets trouvés dans les tombes mycéniennes

    Les objets proviennent des tombes royales à l’intérieur de deux cercles situés à l’intérieur de l’Acropole de Mycènes. Les masques étaient destinés à conserver les traits du défunt.

    Le masque dit « d’Agamemnon » ainsi nommé par Heinrich Schliemann lors de sa découverte en 1876. En fait il date d’avant la guerre de Troie mais le nom est resté. 5 autres masques ont été découverts dans les tombes de Mycènes.

    L'or dans les tombes mycéniennes

    d'autres masques :

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

     tombe de femme enterrée avec son bébé. 16 è siècle avant JC

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

    lion attaquant un taureau

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

    dans une autre tombe, un bracelet sur lequel sont dessinés des armes :

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

     Les rhytons sont des vases funéraires en forme d’animaux. 16 è av JC

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

     

    Tombes mycéniennes à Midea (Dendra) 14-15 è s av JC

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

    Coupes en or trouvées dans le tholos à Vapheio, près de Sparte.

    Sur cette coupe, on voit un taureau attaquant deux hommes, un autre capturé dans un filet et un troisième qui s'enfuit

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

    Sur celle-ci, on voit un homme emmenant un taureau à l'aide d'une corne, d'autres bovins paissent paisiblement.

    L'or dans les tombes mycéniennes

    L'or dans les tombes mycéniennes

     

     


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  • Nous avons commencé la visite de ce musée par les salles consacrées à la préhisitoire et à la civilisation des Cyclades.

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

     

    poterie 5800-5300 av JC :

     

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

     

    tombe à Ayios Kosmas (Attique) 2800-2300 av JC :

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

     

    5300-4800 av JC :

     

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

     

     

    la'art des Cyclades (3200-2300 av JC) :

    La collection comporte un grand nombre de statuettes en marbre, dénommées « idoles », trouvées dans l’île de Kéros. La plus grande, l’idole d’Amorgos, mesure 1,50 m. On ne sait pas vraiment ce qu’elles signifient. Les gens enterraient peut-être les statuettes pour protéger les morts. Parmi la collection, il y a peu de figures masculines, toutes les autres sont féminines, ce serait un symbole de fécondité.

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

     

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

     

    une figure masculine :

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

    Certaines figures sont extrêmement stylisées, on les appelle « figures violons ». À l’origine, les statuettes étaient peintes.

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

    Une statuette représente un joueur de harpe. 

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

    Il y a aussi des pbjets dont on ne connaît pas vraiment la signification. On les appelle "poêles à frire" (l’une est décorée d’un bateau), on pense que ce sont des objets rituels.

    Musée archéologique d'Athènes : la civilisation cycladique

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  • Le troisième niveau du musée est consacré au Parthénon

    La plupart des originaux se trouvent au British Museum . En 1801, Lord Elgin, ambassadeur de Grande-Bretagne à Constantinople, pilla, avec l’accord du Sultan , les plus belles pièces du Parthénon ainsi qu’une Caryatide et la frise du temple d’Athéna Nikè . Il ne reste donc à Athènes que quelques éléments des frontons et de la grande frise des Panathénées

    Athéna était fille de Zeus et de Métis, une Océanide. Ouranos prédit à Zeus qu'un fils, né de Métis, le tuerait. Quand il apprit que Métis était enceinte, Zeus l'avala. Plus tard, il eut très mal à la tête et il appela Héphaïstos pour lui demander de le délivrer de la douleur. Le dieu du feu lui ouvrit le crâne d'un coup de marteau et Athéna en sortit, armée et casquée.

    C'est ce mythe qui est représenté sur le fronton est du Parthénon. Sur le site, il reste la tête des chevaux d’Hélios dont le char annonçait l’apparition du jour et Dionysos couché. Les originaux sont au British Muséum.

    J'ai mis quelques noms sur ces maquettes (ce sont des propositions de représentations des frontons, ceux-ci sont très abîmés), d'après ce que nous a dit Julie et d'après ce que j'ai trouvé sur le net.

    Cliquer sur les photos pour les voir en grand.

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

     

    celui qui porte un bouclier est peut-être Arès, le dieu de la guerre meurtrière.

    Eileithyia est la déesse qui préside aux accouchements.

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Athéna la déesse de la stratégie guerrière, des arts, de la sagesse, des sciences.

    On la vénère sous plusieurs formes :

    Nikè, la Victorieuse 'la marque Nike tire son nom de Nikè)

    Pallas ou Parthénos (la jeune fille, la vierge)

    Polias, la protectrice de la ville

    Promachos, celle qui combat en premier

    Ses attributs : l’égide (bouclier en peau de chèvre orné de la tête de Méduse), la branche d’olivier, la chouette

    Les mythes : elle transforma Arachnée, la tisseuse, en araignée

    Elle proposa à Pâris la gloire militaire mais Pâris préféra dire que c’était Aphrodite la plus belle, il enleva Hélène et déclencha la guerre de Troie.

     

    Le fronton ouest du Parthénon représente le concours entre Athéna et Poséidon pour la protection d' Athènes. Athéna proposa l'olivier, Poseidon proposa la source. Les Athéniens choisirent Athéna.

    Des morceaux de métal étaient ajoutés aux statues de marbre.

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    La frise des Panathénées (160 m) faisait le tour du Parthénon. Phidias y a représenté la procession sacrée qui se tenait tous les 4 ans : porteurs d’amphores, bouviers, des cavaliers, les dieux. Elle représente toutes les classes sociales et glorifie la démocratie. La plupart sont des moulages.

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    les hydrophores :

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

     Athéna et Héphaistos

     Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

     Héra et Zeus :

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

     Poséidon, Apollon et sa jumelle Artémis

     Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

     

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

    Les métopes mettent en scène la Centauromachie : centaures vaincus par les Lapithes, la Gigantomachie (combat entre les Géants et les Dieux) et la lutte de Thésée contre les Amazones.

    Le musée de l'Acropole : les frises du Parthénon

     

    La grande baie vitrée qui éclaire les statues permet d’admirer tout là-haut le Parthénon.

    C'est un très beau musée.


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  • Après un bon chocolat bien chaud, nous partons à la découverte des merveilles du musée.

    Le musée date de 2010. Il est construit sur des colonnes très résistantes pour résister aux tremblements de terre. Le sol en verre par endroits permet de voir les sols fouillés pendant la construction. Certains espaces sont vides mais prêts à accueillir les sculptures qui se trouvent en grande partie au British Museum. Quand ? J'ai pris peu de photos car elles étaient interdites dans certaines parties du musée. Mais cliquez sur le lien qui vous permettront de voir ces photos. Les sculptures en valent la peine !

    Gros bloc de marbre dans lequel est creusée une cavité où on déposait un drachme pour que le mariage soit heureux

    Le musée de l'Acropole

    Au rez-de-chaussée, on voit des vases pour cuisiner qui proviennent des fouilles sur lesquelles a  été construit le musée.

    Des petits vases étaient enterrés dans les fondations des maisons lors de l’inauguration. Ils faisaient du feu pour brûler un animal, versaient du lait dans le feu pour que la maison soit plus solide. Actuellement, on fait encore brûler un coq dans les fondations.

    Jouets d’enfants, crayons pour écrire sur des tablettes recouvertes de cire.

    Ex-voto offerts à Asclepios (le temple se trouvait près du théâtre sur le flanc de l’Acropole), les gens venaient dormir dans le sanctuaire.

    Statue de Dionysos enfant (sans tête) sur le dos de Silène qui porte un masque de théâtre

    Au deuxième niveau : Sculptures archaïques (VII-VI è siècle ava JC):

    Elles se caractérisent par beaucoup de symétrie, des visages souriants (le sourire archaïque), ce sont des statues polychromes

    Lutte entre Triton et Hercule : clic

    Sculpture de Nérée (il porte un oiseau (l’air), de l’eau, le feu : clic 

    Les korés  en marbre de Paros (550 à 480 avant JC) : statues de jeunes filles, ce sont toujours des offrandes à une divinité féminine, en l’occurrence, ici, à Athènes, elles sont offertes à Athéna. Elles offrent un objet à la déesse : fruit, fleur, oiseau…  Elles sont représentées vêtues de tuniques ceinturées à manches courtes (le chiton) ou du péplos et parées d’ornements en métal qui ont souvent disparu. Elles pouvaient aussi être placées dans des tombes. clic

    et clic

    A la même époque, on trouve des kouros, statues de jeunes hommes. Ils sont représentés nus, les bras collés au corps, la jambe gauche en avant. clic

    Le sourire archaïque des korés et des kouros ne signifie pas qu’ils sont heureux mais le sculpteur les a représentés de façon la plus agréable possible pour procurer du bonheur à la divinité à qui ces statues étaient offertes.

    Le Moschophoros : Statue d’homme portant un veau qu’il va sacrifier à Athéna : clic

    Statue d’Athéna dans le mythe de la gigantomachie (bataille entre les dieux et les géants). Les géants lançaient des rochers sur les dieux. Athéna luttait contre Engelados, un des Géants, fils d’OURANOS ET DE Gaïa. Elle a lancé un rocher sur lui et le géant s’est transformé en Sicile. De temps en temps il bouge, c’est le volcan qui se réveille. La statue montre le bouclier (c’est l’égide fait de la peau de la chèvre Amalthée

     qui a nourri Zeus), elle a mis dessus la tête de Méduse, l’une des trois Gorgones. Les serpents sortent du bouclier. Athèn protège les hommes avec son égide. clic

    Frise du temple d’Athéna Nikè : la Victoire à la sandale

    Le musée de l'Acropole

    Le musée de l'Acropole

    Le musée de l'Acropole

    Les Caryatides :

    Ce sont peut-être des princesses d’Athènes ou de Caryes, ville proche de Sparte. Peut-être qu’on disait aussi « aussi belles que les femmes de Caryes ». Ces caryatides sont les statues de l'Erechteion (sur place ce sont des copies), il n' y en a que 5, la sixième est au British Muséeum.

    Le musée de l'Acropole

    Le musée de l'Acropole

    Le musée de l'Acropole

    Le musée de l'Acropole

     

    Maquette de l’Érechtéion

    Le musée de l'Acropole

    un Hermès en marbre du pentélique (II è ap JC) photo de Jules

    Le musée de l'Acropole

    Il pleut toujours ...

    Le musée de l'Acropole

    Nous n'avons pas vu l'Athéna pensive. Dommage ! clic

    Demain je vous montrerai les statues du troisième étage, consacré au Parthénon

     


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